14 mai - 17 mai 1958, gouvernement Pflimlin. Il devint ministre de l'intérieur dans le cabinet Mendès-France.
Secrétaire d’État aux Affaires étrangères, il est l'un des signataires du "traité de Rome" instituant la communauté européenne. Président du groupe du Rassemblement des gauches républicaines et de la gauche démocratique, il fut appelé par G. Bidault comme ministre des PTT (7 février 1950), poste qu'il conserva dans les gouvernements Queuille (30 juin 1950) et Pleven (14 juillet 1950), avant d'être appelé à l'Intérieur. Cette majori… Ayant repris sa carrière après la guerre, ses sympathies gaullistes désignèrent ce technicien au ministère de l'Intérieur en juin 1958. 19 juin 1954 - Avocat au barreau de Paris, mobilisé en 1939, il fut fait prisonnier et, s'étant évadé, il entra dans la résistance. Investiture :Acte par lequel l’Assemblée charge officiellement le président du Conseil de la conduite du gouvernement. 20 janvier 1952 - 8 mars 1952, 1er gouvernement Faure, 8 mars 1952 - 8 janvier 1953, gouvernement Pinay, BRUNE IV8 janvier 1953 - 28 juin 1953, gouvernement Laniel. Scrutin proportionnel :Scrutin à un tour qui répartit les postes à pourvoir en proportion des suffrages exprimés pour chaque liste ; il favorise donc les petits partis.
13 juin 1957 -, 13 juin - 6 novembre 1957, gouvernement Bourgès-Maunoury, 16 novembre 1957 - 14 mai 1958, gouvernement Gaillard. 11 août 1951 - Né dans le Jura, docteur vétérinaire, Charles Brune fit toute sa carrière au ministère de l'Agriculture. Ministre d’Etat, ministre des Infrastructures, du désenclavement : Jean Bernard Padaré Vice président du Conseil du 28 octobre 1949 au 7 février 1950, il devint ministre de l'intérieur le 7 février 1950 dans le deuxième cabinet Bidault. 1er juin 1958 - Préfet en 1942, il demanda à être placé en disponibilité et entra dans la Résistance. En 1938, il était inspecteur général des services vétérinaires. Plusieurs fois ministre sous la IIIe République (Agriculture, Santé publique, PTT, Travaux publics), il rejoignit De Gaulle à Londres (1943) et fut membre de l'assemblée consultative provisoire (1944). 1e février 1956 - bâtonnier d'Amiens, ses compétences lui ouvrirent, comme sénateur radical, les fonctions gouvernementales. Mort d’un enfant clandestin sur un vol parti d’Abidjan : enquête... Mali : Hélicoptères cloués, l’opposition demande une commission d’enquête.
Vous avez entré une adresse email incorrecte! 7 février 1950 - Médecin, il fut élu député (1914-1935) puis sénateur (1935-1940) radical-socialiste. Ministre d’Etat, ministre conseiller à la Présidence : Dr Nouradine Delwa Kassiré Koumakoye. Dans cette assemblée le parti communiste français (PCF) et le parti socialiste (SFIO) ont la majorité absolue.
S'il vous plaît entrez votre commentaire!
Connectez-vous à votre compte : Un mot de passe vous sera envoyé par email.
L'absence de consensus originel Le rétablissement de la République dans la France libérée en 1944, avait été suivi d'un débat constitutionnel passionné, ( 2 assemblées constituantes et 3 référendums ).
Membre du Parti radical socialiste, député (1946-1958), il fut plusieurs fois ministre sous la IVe République (Travaux publics, Armement, Finances, Industrie). 26 juillet 1948 - 5 septembre 1948, gouvernement Marie, 5 septembre - 11 septembre 1948, 2è gouvernement Schuman, 11 septembre 1948 - 27 octobre 1949, 1er gouvernement Queuille, 28 octobre 1949 - 7 février 1950, vice-président du Conseil et ministre de l'Intérieur, 2è gouvernement Bidault. Le même jour ils élisent une assemblée constituante qui doit rédiger la constitution d'une nouvelle république.
Référendum :Vote par oui ou par non à propos d’une mesure proposée par le pouvoir exécutif.
Président du Conseil :C’est le nom donné au Premier ministre sous les IIIe et IVe Républiques. Député de l'Union démocratique et sociale de la Résistance (UDSR) pour le département de la Nièvre (1946-1958 et à partir de 1962) ou sénateur (1959-1962), il fut successivement ministre des Anciens combattants (1947-1948), de l'information (1948), de la France d'outre-mer (1950-1951), Ministre d'État dans le cabinet Laniel (1953), il démissionna en raison de son désaccord sur la politique coloniale qu'il voulait voir s'orienter dans un sens plus libéral.