La moyenne constatée est de 2000 euros et se répartit grossièrement de la façon suivante : 1000 euros environ pour l'implant dentaire et la pose, 1000 euros pour la mise en fonction, le pilier et la prothèse sur impalnt (facturée à elle seule environ 600 euros).
En France, la candidat à la pose d'un implant dentaire à plusieurs possibilités. Souvent, les patients s'adressent à plusieurs organisme ou cliniques, afin d'effectuer un choix éclairé.
La fixation des prix des implants dentaires est libre et de forts différentiels existent selon les régions, les structures et bien entendu les praticiens.
Chacun a pour seule obligation de fixer son prix avec tact et mesure
Les chirurgiens dentistes exerçant en libéral
Il s'agit du statut habituel du dentiste : il exerce à son propre compte. Lorsqu'il est spécialisé en chirurgie maxillo-faciale, le chirurgien dentiste donne les garanties maximales de la maîtrise de la pose d'implant. A noter que n'importe quel chirurgien dentiste peut pratiquement poser un implant dentaire.
Les réseaux de soins
Les complémentaires santé ont constitué au cours des années 2013-2014 des réseaux de soins : conscient de leur impact auprès de leur assurés, elles proposent des réductions tarifaires négociées avec les chirurgiens dentaires sur toute la France à leurs adhérents.
L'avantage pour le dentiste est de bénéficier d'une manne importante de patients potentiels, ceux de la complémentaire santé qui va les aiguiller dans le réseau.
Le désavantage de cette démarche est la sélection par le prix et que n'importe quel dentiste peut adhérer au réseau, quelles que soient son expérience et ses compétences.
Les centres dentaires low-cost
Modèle difficilement applicable à la médecine, le low-cost n'épargne pourtant pas non plus la dentisterie : organisé en centre de profit, le centre dentaire low-cost emploie ses dentistes et propose la pose des implants dentaires à prix défiant toute concurrence (sauf à poser l'implant dentaire à l'étranger – LIEN), par des économies réalisées sur les salaires ainsi que sur toute la chaîne de production et d'approvisionnement.
Résultat : un prix de vente de l'implant dentaire équivalent à celui constaté dans des pays comme la Hongrie, où les coûts réels sont pourtant 3 à 4 fois moins élevés.
La modèle low-cost pose la question de la pérénité et la vigilence reste de mise. Ils répondent malgré tout à une réel besoin de soins bon marché et posent la nécessité de diminuer le montant des implants dentaires afin de les rendre accessibles au plus grand nombre.