Le premier où l’on aurait découvert un moteur, première preuve qu’il existe un dopage technologique dans le cyclisme. »[66]. Cyclisme et dopage, une vieille histoire. »[18]. En fait, à défaut, c'est l'école de la triche qui s’était mise en place. Johan Bruyneel sur le Tour 2004 avec Lance Armstrong. De nouveaux produits dopants apparaissent, comme l'erythropoietine (EPO) et l'hormone de croissance, qui s'avèrent plus efficaces : les produits que les coureurs consommaient jusqu'alors ne produisent une hausse de performance que de courte durée, tandis que l'EPO a un effet à long terme et améliore l'endurance à l'entraînement à condition d'être prise tout au long de l'année. Il s'est progressivement étendu à toutes les activités cependant plus le sport est populaire plus il est exposé au dopage. Mis hors course, exclu du Tour, Pollentier écope également d'une suspension de deux mois[28]. La Fédération Française de Cyclisme introduit alors dans les années 1960 le contrôle médical antidopage dans … Alain Garnier précise qu'après les révélations de L'Équipe en 2005, elle « n'a rien fait si ce n'est une enquête administrative pour connaître l'origine de la fuite ». Cependant, cette infographie nous permet de … Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La nécessité d’aborder un sujet aussi complexe comme le dopage est donné par une préoccupation pas seulement dans le monde du sport, mais aussi dans l’espace public. En 2011, l'UCI a effectué 5650 contrôles hors-compétitions (dont plus de la moitié de contrôles sanguins), tandis que l'ITF n'en réalisait que 216 dont 21 sanguins[68] ! Le Laboratoire national de dépistage du dopage de Châtenay-Malabry est le premier à détecter l'EPO[18]. Le dopage dans le sport Une procédure de révision du Code a eu lieu et a aboutie en novembre 2007, au cours de la troisième Conférence mondiale sur le dopage dans le sport, à l’approbation par le Conseil de fondation de l’AMA du Code révisé dont la mise en place est fixée au 1er janvier 2009. Jusqu’ici, l’UCI devait établir des limites générales, sans pouvoir affiner en fonction des particularités de chacun. Si le terme « doping » – ou « dooping » – apparaît dans la presse au tout début du XX e siècle (cet anglicisme sera francisé en « dopage » des années plus tard), il est d’abord désigné pour pointer du doigt la course hippique. 11/18 Lance Armstrong. Dans le cyclisme il est généralisé depuis 2008 et accepté par les coureurs. ll a même précisé que ses fesses ressemblaient à une passoire à force de piqûres d'amphétamines[10] ». Et pourtant, le cyclisme est, de très loin, le sport professionnel qui lutte avec le plus de sérieux contre ce fléau. L'histoire du cyclisme cache dans son ombre une autre histoire, celle du dopage. Parce qu'au fil du temps, la "Grande Boucle", est devenue bien plus qu'un évènement sportif mythique, découvrez tous les secrets qu'elle traîne dans son sillage. En 1924, le journaliste Albert Londres dévoile ces pratiques dans un article du Petit Parisien, publié plus tard sous le titre « Les forçats de la route » . Bref, le dopage est dans la rue. … Bruno Deblander et Jean-François Lauwens, Conseil de prévention et de lutte contre le dopage, Agence française de lutte contre le dopage, Le Temps : Au Tour de France, un doublé slovène qui interroge. L’affaire Puerto c’est un des plus grands scandales de dopage sanguin qui … Ce dernier reconnaît s'être dopé à la cortisone pendant trois années alors qu'il est hospitalisé pour une maladie du foie lors de l'hiver 1977-1978, qu'il attribue à l'absorption de cette substance. « Coup de tonnerre dans un ciel serein »; ce fut un tournant de l’histoire du dopage dans le sport. Il bénéficie pourtant d'un non-lieu car ce médicament ne figure pas encore sur la liste des produits interdits par l'UCI[30],[25]. Sur le Tour de France 1960, le docteur Pierre Dumas entre dans la chambre du futur vainqueur de l'épreuve, Gastone Nencini, qu'il découvre sur son lit avec un tube de plastique dans chaque bras relié à une bouteille contenant des hormones, sans que cet incident n'entraîne de sanction envers le coureur[7]. Dans ce contexte, le chercheur Nicolas Eber affirme que la tentation de se doper est d'autant plus forte pour un coureur s'il soupçonne les autres de se doper et peut ainsi craindre d'être le seul à ne pas en bénéficier. »[72]Stéphane Heulot, ancien maillot jaune en 1996, indique que Mauro Gianetti, qui fut manager de Saunier-Duval, et aujourd’hui manager de la formation UAE Team Emirates, celle du vainqueur du Tour Tadej Pogačar, avait trempé dans des affaires de dopage[73].