L'expansion coloniale en Afrique met la France en concurrence avec le Royaume-Uni, ce qui l'amène à : Cela complique pour un temps les relations diplomatiques entre les deux pays. Mac Mahon choisit alors de nommer à la tête du gouvernement Jules Simon, ancien ministre de Thiers, professeur de philosophie à la Sorbonne, « profondément républicain et profondément conservateur », le 13 décembre 1876. C'est ce que Vincent Duclert qualifie de « naissance de l'idée de la France comme nation politique »[3]. Par la loi du 30 août 1883, Jules Ferry touche à l'inamovibilité des magistrats du siège en la suspendant pendant trois mois, le temps pour le gouvernement de mettre à la retraite ceux qui étaient hostiles à la République. * un défilé des troupes allemandes sur les Champs-Élysées. Au cours de cette première période la France va connaître une succession de régime : monarchie, empire et république. En juillet 1874, Auguste Casimir-Perier, un républicain conservateur, prend l’initiative d’une demande d’ouverture des travaux sur la future constitution. Ce fut cependant Sadi Carnot qui hérita de la présidence. Le chef de l’état dans un tel régime peut être comparé à un monarque qui garantit la continuité des institutions mais sans gouverner, comme c’est le cas en Angleterre. Déclarée d’utilité publique, la construction du Sacré-Cœur de Montmartre était considérée par les partisans de l’Ordre moral comme un moyen d’expier les évènements de la Commune et de s’opposer symboliquement aux progrès des Républicains anticléricaux.
Ce dernier, faute de trouver la confiance de la Chambre, démissionne, et le duc de Broglie est remplacé par Ernest Courtot de Cissey, qui forme un gouvernement de droite et de centre droit. La stratégie militaire vise dès lors à épargner les hommes, et l'État-Major adopte une approche défensive : protéger le territoire en dissuadant toute attaque. Le 18 janvier 1871, l'unification allemande est réalisée : les souverains allemands réunis au château de Versailles proclament le roi Guillaume Ier de Prusse empereur allemand. Jules Grévy(1807-1891)Du 30 janvier 1879 au 2 décembre 1887. Après la mort de Napoléon III le 7 janvier 1873, les bonapartistes, pour préserver les chances du prince impérial, s’allient aux royalistes. La défaite de larmée française face aux Prussiens à Sedan, le 2 septembre 1870 précipite la chute de lEmpire. Par décret du 2 septembre 1871, Jules Dufaure, le Garde des Sceaux, est nommé vice-président du Conseil. Créée sous le règne d'une majorité parlementaire conservatrice, plutôt monarchiste et bonapartiste, elle va perdurer pendant près de soixante dix ans, sans véritable Constitution. La capacité à mobiliser ses connaissances et la capacité à raisonner juridiquement seront évaluées dans l'exercice du cas pratique. Le 6 janvier 1878, les élections municipales donnent une majorité républicaine, et le 5 janvier 1879, les élections au premier tiers sortant du Sénat sont une éclatante victoire des républicains, qui obtiennent la majorité des sièges (179 contre 121)[31]. Sur le front ouest, les forces de la Triple Entente sont d’abord bousculées par la stratégie des Allemands, basée sur la rapidité et l’ampleur du mouvement. La République est finalement terrassée par la défaite de mai et juin 1940.
Les combats font moins de 900 morts du côté des Versaillais ; les pertes des communards, longtemps estimées à 20 000, ont été réévaluées à 10 000 par Robert Tombs, dans La Guerre contre Paris : 1871. Consultez plus de 40704 documents en illimité sans engagement de durée.
Celui-ci constitue un ministère de défense républicaine : il prend même au ministère du travail un socialiste, Millerand.
Parallèlement l’instabilité gouvernementale et de nombreux scandales politico-financiers entraînent le développement de l’antiparlementarisme et la monté en puissance de l’extrême-droite. Lorsque Hitler s’en prend à la Tchécoslovaquie, dont la région des Sudètes est peuplée d'Allemands, la France et le Royaume-Uni persistent à poursuivre une politique d'apaisement pour éviter la guerre. Les élections législatives de 1919 se traduisent par une large victoire de la droite et d'une partie des radicaux dans le Bloc national, qui forment la « chambre bleu horizon ». [...] Certes le pouvoir réglementaire et l'initiative législative sont reconnus au chef de l'Etat, mais sous la réserve du contreseing ministériel. Tandis que lEmpereur Napoléon III est fait prisonnier, un gouvernement de Défense nationale se constitue le 4 septembre. Ils proclamèrent la république le 4 septembre, au balcon de l’Hôtel de Ville de Paris. Dans les plis glorieux de cet étendard sans tache, je vous apporterai l’ordre et la liberté. Cette intransigeance qui brise toute possibilité d’une restauration royaliste, désespère les orléanistes et une partie des légitimistes. Enfin, du point de vue administratif, la loi du 5 avril 1884 consacre le principe de l'élection du conseil municipal au suffrage universel masculin (tous les 4 ans jusqu'en 1929) et le principe de l'élection du maire et de ses adjoints par le conseil municipal.
Je viens de passer un concours dont le sujet était "l'exécutil sous la 5ème république". La Troisième République, ou III e République, est le régime républicain en vigueur en France de septembre 1870 à juillet 1940, soit pendant presque 70 ans, le premier à s'imposer en France dans la durée depuis 1789.En effet, la France a expérimenté, en 80 ans, sept régimes politiques : trois monarchies constitutionnelles, deux républiques et deux empires. En 1899, quelques uns tentent même d’organiser un coup d’Etat pour mettre en place un régime autoritaire. d’indiquer ci-dessous l’identifiant personnel qui vous a Commence alors la Semaine sanglante (21 au 28 mai), marquée par des combats de rue sans pitié, barricade par barricade.