Mme Nathalie Elimas, vice-présidente de la commission mixte paritaire. Enfin, la CMP ayant rétabli trois habilitations supprimées par le Sénat, ce sont donc dix habilitations à légiférer par ordonnance qui sont accordées au Gouvernement.Ce résultat, nous le devons aux différents protagonistes : je veux les en remercier, en commençant par notre rapporteur, Guillaume Kasbarian.
Le déconfinement ne commence pas le 11 mai, il a déjà commencé pour de nombreuses activités ! M. Fabien Di Filippo. Compte rendu de la séance 3/2015 de la ZO : Renforcer la pénétration des règlements. au Journal officiel des débats dans un délai de 7 à 15 jours. M. Antoine Savignat. vous pouvez consulter le compte rendu analytique.
La parole est à M. le ministre chargé des relations avec le Parlement. Je me félicite que le Gouvernement ait fait marche arrière car je rappelle que cette mesure concernait 1,7 million de personnes. CE, 5 décembre 2007, commune de Forcalqueiret, n°277087. Je ne les excéderai pas, monsieur le président.Alors que nous abordons la lecture définitive du projet de loi, avec lâexamen du texte issu des travaux de la commission mixte paritaire qui sâest réunie hier matin, nous pouvons faire deux constats : dâune part, il est manifeste que plusieurs dispositions, ordinaires, ne relèvent toujours pas dâun texte portant sur lâétat dâurgence ; dâautre part, certaines dispositions procèdent à une extension indue du champ des ordonnances, ce qui constitue un excès de pouvoir réglementaire mettant en cause des principes fondamentaux.
Lecornu, ministre auprès de la ministre de la cohésion des D'où l'expression "séance publique" pour qualifier la séance plénière qui est le temps fort de l'activité parlementaire, le moment de la décision du Sénat sur tous les sujets soumis à son examen. La parole est à M. Jérôme Lambert. Il témoigne également de lâesprit de responsabilité qui a gouverné les échanges entre les deux assemblées. Je sais que certains de nos collègues ont obtenu des avancées, améliorant notamment à titre temporaire la situation des étrangers pendant cette crise ou le dispositif des contrats dâinsertion. M. le président.
est, depuis le 5 avril 2004, mis en ligne dans un délai d'environ Je pense notamment à lâaccès au PGE, étendu aux entreprises en procédure de sauvegarde ou de redressement, à lâaccès au fonds de solidarité, étendu aux entreprises créées tout récemment, et à de nombreuses autres ouvertures très bienvenues.Outre lâextension de ces dispositifs, le texte prévoit lâexonération de la prime annoncée la semaine dernière par le Président de la République et qui entrera en vigueur très rapidement pour récompenser les agents publics qui sont en première ligne et qui ont été fortement mobilisés dans la gestion de la crise liée à lâépidémie de coronavirus Covid-19.Nous nous réjouissons également des enrichissements apportés à ce texte par lâAssemblée nationale, comme lâabaissement du taux de TVA à 5,5 % pour les masques et le gel hydroalcoolique, ou lâamendement instaurant la neutralisation fiscale des abandons de créances, qui accompagne la volonté du Gouvernement dâinciter certains bailleurs à renoncer aux loyers des commerçants et entreprises.
Dès lors, il semblait important dâentendre le scepticisme ainsi exprimé, de revoir la position de chacun dâentre nous, Assemblée nationale, Sénat et Gouvernement, et de ne pas poursuivre la navette parlementaire qui aurait pu être vécue comme un passage en force. Parmi ces dépenses, outre lâaugmentation à hauteur de 8 milliards dâeuros de celles liées à lâONDAM â objectif national des dépenses dâassurance maladie â, permettez-moi de souligner deux dispositifs de notre plan de lutte contre lâépidémie et ses conséquences.Il y a dâabord le financement du chômage partiel qui passe de 8 milliards à près de 27 milliards dâeuros, financés aux deux tiers par le budget de lâÃtat et à un tiers par lâUNEDIC, lâUnion nationale interprofessionnelle pour lâemploi dans lâindustrie et le commerce, pour préserver la situation des salariés. Certes, elle a exclu certains organismes de son champ dâapplication, mais elle nâa pas été suffisamment loin dans ce sens. Les débats, ici comme au Sénat, ont montré lâacuité de cette question. Lorsque ce dernier affirme que seuls 5 % des dossiers de demandes de prêts garantis par lâÃtat â PGE â font lâobjet dâun refus, je pense quâil relaie la statistique qui lui a été transmise, mais que ce pourcentage nâest pas juste.