Une station de la ligne est particulièrement atypique en raison de sa situation à la base de deux embranchements : La Fourche est construite sur deux niveaux pour permettre la séparation et l'union des deux branches en direction du nord. Elle se poursuit en direction du nord-ouest, puis du nord, sous la rue des Bas puis le boulevard Pierre-de-Coubertin, desservant les deux stations les plus récentes, Les Agnettes et le terminus de la branche, Les Courtilles. In einer zweiten Phase wäre eine Verlängerung bis Port de Gennevilliers möglich. La ligne dessert également plusieurs centres d'intérêt : Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La ligne est accessible avec les mêmes abonnements, comme ceux pouvant être chargés sur une carte Navigo. L'important développement économique de la Plaine Saint-Denis autour d'un vaste projet urbain depuis la construction du Stade de France contribue également aggraver la situation de la ligne, de nombreuses entreprises s'étant installées dans ce secteur, dont les salariés empruntent la ligne pour leur migration quotidienne domicile-travail[36],[37]. En 1968, le tunnel est réalisé sous le boulevard Haussmann à partir des puits d'accès du futur RER A, les deux tunnels étant superposés. Cour St-Émilion 9 764 € 9. L’Office des transports, ancêtre d'IDFM, décide d'ouvrir néanmoins le prolongement à Carrefour Pleyel, mais en l'accompagnant de l'abandon de la desserte aux heures de pointe de la branche Porte de Clichy, avec un service de substitution par autobus. Le tracé de la ligne 13 débute à la station extérieure Châtillon - Montrouge, au sud de Paris, dans le département des Hauts-de-Seine, où il est correspondance depuis le 12 décembre 2014 avec le tramway T6[82]. Châtillon - Montrouge → Saint Denis - Université : 5h30
→ Châtillon - Montrouge à Asnières-sur-Seine, Gennevilliers et Clichy
En 1948, l'infrastructure est réalisée puis la station équipée au début de 1950[11]. Après le prolongement de la ligne à Châtillon-Montrouge en 1976, il était prévu de poursuivre l'extension de la ligne vers Châtillon et Clamart en suivant les emprises de la ligne de Paris à Chartres par Gallardon, puis vers la ville nouvelle de Vélizy-Villacoublay. L'équilibre financier du fonctionnement est assuré par une dotation globale annuelle aux transporteurs de la région grâce au versement transport payé par les entreprises et aux contributions des collectivités publiques[123]. Le dernier départ est fixé à 1 h 37 les nuits des vendredis aux samedis, des samedis aux dimanches et des veilles de fête aux jours de fête. Ce secteur, longtemps occupé par Engie est amené à accueillir le Centre aquatique dans le cadre des Jeux olympiques d'été de 2024 ainsi qu'un quartier mêlant emploi tertiaire et logement (ZAC Plaine Saulnier) qui pourrait justifier la desserte par un mode de transport lourd, étant pour le moment plutôt éloigné et coupé de ces deux stations encadrantes. Le 28 décembre 1901, la Société du chemin de fer électrique souterrain Nord-Sud de Paris, dite Compagnie du Nord-Sud, obtient de la Ville de Paris la concession d'une ligne de métropolitain nord-sud concurrente de celle concédée à la Compagnie du chemin de fer métropolitain de Paris (CMP)[3]. Le projet comprend de fait quatre opérations distinctes : la jonction des deux lignes proprement dites, le prolongement des deux branches septentrionales de Porte de Clichy à Gennevilliers d'une part et de Pleyel à Saint-Denis et Stains d'autre part, enfin l'extension de la ligne 14 vers le sud, à Châtillon puis vers Vélizy-Villacoublay[18]. Elle atteint alors la station Gabriel Péri après une longue interstation de 1 756 mètres. Il s'agissait de réaliser un tronçon d'Arc Express entre la Défense et la Plaine Saint-Denis, ce qui aurait amélioré la desserte en transport en commun de tout le quart nord-ouest de la petite couronne, favorisant de ce fait la rénovation urbaine et la densification des secteurs concernés. Le projet a ainsi été inscrit au Contrat de développement territorial de Plaine Commune en 2014[145]. Nov. 1910 Tunnel 7: Nationalversammlung: Aubervilliers – Pantin – Quatre Chemins: 03-05 4. La ligne nord-sud, qui doit initialement relier la gare Montparnasse à la place des Abbesses, se voit rapidement adjoindre une branche vers la porte de Saint-Ouen à la demande de la Ville. Table outlining Paris Métro stations Station Photograph Code Line ... (Asnières – Gennevilliers) 19-02 13: 3 Asnières-sur-Seine, Gennevilliers: 3 May 1980: Toutefois, la fréquentation croissante de la ligne le samedi après-midi conduit IDFM à réduire l'intervalle entre deux trains sur le tronçon central de 3 minutes (fréquence qui était étale de 8 h et 20 h) à 2 minutes et 15 secondes entre 16 h et 20 h à compter de janvier 2018[39]. Sur le tronc commun la desserte doit passer de 34 trains à 38 trains à l’heure entre 7 h 30 et 8 h 30[42], renforçant la sensibilité de la ligne à tout incident d'exploitation. En septembre 2018, Île-de-France Mobilités annonce la suppression de certains strapontins près des portes au nom de la fluidification des échanges[113]. Le schéma de principe présenté en 2011 par le STIF prévoyait par rapport à la situation de référence en 2020 une désaturation de 23 % sur le tronçon commun, de 27 % sur la branche Saint-Denis et de 19 % sur la branche Asnières-Gennevilliers[65]. De fin 2009 à juillet 2012, la RATP a installé des façades de quai dans treize stations en commençant par Miromesnil. Issue d'un projet avorté de ligne circulaire, cette courte ligne au tracé incohérent connaît une fréquentation très faible. 1. De février 1952 à juin 1953, les rames Sprague de la ligne B puis de la ligne 13 sont remplacées par le matériel articulé, plus moderne et performant[115]. Sa création était destinée à compenser l'abandon d'une ligne nord-sud du RER, prévue au schéma directeur d'aménagement et d'urbanisme de la région parisienne de 1965 mais jamais réalisée. Le tracé se poursuit par deux tunnels à voie unique de 600 mètres de long, reliant l'ancienne boucle terminale de Porte de Clichy au prolongement. Le dimanche 29 juillet 2007, un début d'incendie atteint une voiture entre les stations Varenne et Invalides (le train allait vers Gabriel Péri). Dans les rames, la prochaine station desservie fait l'objet d'une annonce sonore alors que dispositif ASVA fait clignoter un point lumineux la matérialisant sur un plan implanté au-dessus de chaque porte[92]. (Les stations en gras servent de départ ou de terminus à certaines missions). Le schéma de principe demande de prévoir des stations pouvant accueillir huit voitures, mais ne proposait pas de concrétiser immédiatement cette réserve[68]. Un atelier auxiliaire souterrain se trouve également à Pleyel, aménagé sous le dépôt de bus du même nom en 1968 en vue des prolongements de la ligne 13, mais qui n'a été mis en service qu'en septembre 1974[108]. Cette extension améliore la desserte des communes d'Asnières-sur-Seine et de Gennevilliers et constitue à son nouveau terminus un pôle de correspondance avec la ligne 1 du tramway, prolongée à l'ouest depuis le 15 novembre 2012[29]. Cette dernière est alors la seule non voûtée de la ligne, son plafond étant soutenu par des poutres transversales de béton[5]. L'Occupation met fin à ces projets de prolongements, qui sont abandonnés par une décision ministérielle du 18 novembre 1940. La ligne 14 est initialement desservie par des trains de trois voitures, deux motrices 500 encadrant une remorque mixte, composition qui n'évolue qu'à partir des années 1960. Entre 1999 et 2008, la population des communes de banlieue situées sur les deux branches nord de la ligne a ainsi augmenté de plus 39 000 habitants (+11 %)[38]. Pont-Cardinet 11 487 € 5. Les conventions du 1er octobre 1929, qui organisaient notamment le prolongement des lignes de métro en banlieue, sous l'autorité, non plus de la Ville de Paris mais du département de la Seine, prévoyaient que ligne 13 serait prolongée, pour sa branche ouest au pont de Clichy, et pour sa branche est, à la mairie de Saint-Ouen-sur-Seine. À fortiori ce prolongement ne pourrait être réalisé qu'une fois réglé le problème de la surcharge de la ligne. Les essais techniques à vide sans voyageurs - ou marches à blanc - se déroulent sur le prolongement du 7 au 13 juin 2008, avant l'inauguration du tronçon le 14 juin 2008. Dans la nuit du 26 au 27 juillet 1937, un remaniement des voies, prévu afin de ne pas affecter l'exploitation, permet de mettre en place la configuration définitive des lignes 8, 10 et 14 : le 27 au matin, les trains de la ligne 8 sont déviés de Porte d'Auteuil vers Balard, et ceux de la ligne 14 relient dès lors la porte de Vanves à Invalides sur une longueur de 4,6 kilomètres. De 2011 à 2017, il oscille autour de 130 millions, le nombre de 135 millions étant dépassé en 2018[1]. À cet emplacement, appelé Pont de la Révolte a été réservée la possibilité de réaliser une station de correspondance avec les lignes SNCF. Après être passée sous la ligne 12, puis au-dessus de la ligne 10 à laquelle elle donne correspondance à la station Duroc, la ligne 13 se poursuit sous le boulevard des Invalides et atteint la station Varenne, à trois voies à quai dont une qui se raccorde à une vaste boucle sous l'esplanade des Invalides, ancienne boucle du terminus nord de l'ancienne ligne 14. Bercy 10 042 € 8. Le tronçon Invalides - Duroc est retiré à la ligne 10 et incorporé à la ligne 14. Métro de Paris Ligne 13. 1 951 hab. Il regroupe les cadres responsables des terminus, ceux chargés de la régulation de la ligne ainsi qu'un contremaître chargé de la maintenance à distance, sous la responsabilité d'un coordinateur[48], afin de limiter au maximum les incidents et les retards sur la ligne. La CMP avait commandé un matériel spécifique et moderne pour cette nouvelle desserte, le matériel articulé (MA). La première ligne du métro parisien a été construite afin de desservir l'Exposition universelle organisée en 1900 à Paris. Il est de 110 millions en 2004, soit jusqu'à 540 000 voyageurs par jour de semaine, soit 20 000 voyageurs par sens à chaque heure de pointe[42]. Depuis le prolongement de la branche d'Asnières en juin 2008, le nombre de trains circulant sur chaque branche est devenu équivalent, ce qui avait pour but de réduire la surcharge de cette branche. Le 6 juin 2013, lors de la présentation du contrat de développement territorial « Boucle Nord des Hauts-de-Seine », le projet du prolongement de la ligne 13 est envisagé jusqu'à Argenteuil et devrait être étudié en 2016[140]. Ainsi, un premier départ avait lieu dès 5 h 37 d’Invalides vers le nord et vers le sud mais, depuis le prolongement de juin 2008, le service partiel depuis Invalides n'existe plus, retardant de 8 à 14 minutes la desserte matinale de la ligne. La ligne 13 du métro de Paris est l'une des seize lignes du réseau métropolitain de Paris. En 2018, ce projet n'est plus réclamé par le maire de Stains, au profit d'un prolongement de la ligne 12[144]. N’hésitez pas à l’améliorer en veillant à citer vos sources. Le 25 mai 1998, la branche de Saint-Denis est de nouveau prolongée de 1,3 kilomètre pour un coût de 525 millions d'euros (financés à 70 % supportés par la Région) afin d'atteindre son terminus actuel, Saint-Denis - Université, qui est doté d'une gare routière. Dans l'imaginaire commun parisien, la ligne 13 hérite souvent du titre officieux de « pire ligne de métro[85] ». Le métro de Paris est aujourd'hui l'un des plus célèbres systèmes de métro dans le monde, tout comme le métro de Londres et de New York. Dès l'extension de la ligne 13 à Carrefour Pleyel, en 1952, l'exploitation en fourche de la ligne apparaît comme problématique en raison du déséquilibre de charge entre les deux branches. La correspondance avec la ligne 13 du métro est optimisée grâce à un couloir souterrain relié … Les travaux reprennent — au ralenti — à la Libération puis reprennent leur marche normale avec le rétablissement progressif des approvisionnements. Ceux en provenance de Clichy arrivent à la station supérieure, à deux voies, tandis que ceux venant de la porte de Saint-Ouen arrivent à la station inférieure, à voie unique. La station Invalides proprement dite est composée de trois voies, dont une de garage appartenant à la boucle. Cette extension permet de desservir l'Université Paris-VIII[28]. En 1983, dans son ouvrage Notre Métro, l'historien Jean Robert note déjà ː « Un tel déséquilibre de trafic entre les branches ne peut conduire qu'au « débranchement » de la ligne [...] il faudra sans doute un jour [la] dédoubler [...] à partir de La Fourche pour envoyer l'une des branches des branches vers la Trinité et la Chaussée d'Antin »[56]. Afin de limiter les conséquences du prolongement, la RATP restructure son réseau de bus de manière à permettre de créer une véritable rocade entre Clichy et la porte de Clignancourt[31]. C'est la ligne la plus longue du réseau parisien avec 24,3 kilomètres[80], compte tenu de ses deux branches, la ligne 8 ayant le plus long linéaire entre terminus avec 23,3 km[81]. Arcueil - Cachan : clap de fin pour le tunnelier Ellen. Du second semestre 2007 à fin 2011, les MF 77 sont rénovées à un rythme de production après le test du prototype depuis janvier 2007, avec, entre autres, précâblage pour Ouragan, ajout de l'ASVA (système d'annonces sonores et visuelles automatiques), passage des sièges plus larges en configuration 2+1 au lieu de 2+2, compteurs automatiques de voyageurs (sur les rames graisseuses), et diverses améliorations techniques[52]. Sous la direction de François Gasnault et Henri Zuber : La dernière modification de cette page a été faite le 16 avril 2021 à 13:35. Les couloirs d'accès à la station sont décorés sur le thème des rencontres musicales en hommage à la manufacture de pianos fondée à proximité par Ignace Pleyel[100]. Serving 32 stations, it is the network's fifth busiest line, with 131.4 million passengers in 2017. Sur les quais des bandes podotactiles signalent la proximité de la voie[93], dont l'accès est protégée dans les stations équipées de porte-palières[44]. Le dernier départ de Châtillon - Montrouge a lieu à 0 h 37 en direction de Saint-Denis et à 0 h 40 en direction d’Asnières. En 2018, la consultation lancée par Île-de-France Mobilités pour le nouveau matériel roulant fer MF 19 envisage le retrait des MF 77 en 2025[45]. La ligne comporte huit stations au total. Le 1er janvier 1930, la CMP absorbe la compagnie Nord-Sud, et la ligne B devient la ligne 13 du réseau le 27 mars 1931. Une seconde hypothèse consistait à mailler la ligne 13 avec le projet Arc Express[34] (qui sera en 2011 fusionné avec le projet initial du métro du Grand Paris pour former le Grand Paris Express[64]), projet alors fortement soutenu par la RATP malgré son coût élevé. Le nouvel agencement permet aussi aux rames de gagner 5 % de capacité[34]. Plusieurs stations de la ligne possèdent une décoration culturelle thématique originale[97]. Il est complètement déployé depuis juillet 2017[45],[39]. La station, jouant alors un rôle de terminus, est convertie en station de passage en réutilisant l'une des demi-stations, prévues pour une ligne circulaire intérieure jamais réalisée[20]. En 2018, la ligne doit également assurer le trafic induit par le nouveau tribunal de Paris dans le quartier des Batignolles et le développement du quartier des Docks de Saint-Ouen où s'implante le siège du Conseil régional[39]. Le tunnel redevient à double voie sous la rue Calmette à Clichy, sur 450 mètres, pour atteindre l'unique station dans cette commune, Mairie de Clichy. Six stations de la ligne 13 ont changé de nom au fil des ans[94] : L'histoire de la ligne a induit une grande variété architecturale : style « Nord-Sud » sur les plus anciennes stations au nord dans Paris ; architecture plus moderne en caissons pour la liaison entre Saint-Lazare et Invalides. Le schéma de principe de 2011 n'intégrait pas l'impact du Grand Paris Express dans ses calculs de désaturation du réseau[65], ce qui a conduit à acter que le prolongement de la ligne 14 se ferait en adoptant un matériel roulant à huit voitures[72]. Il se peut que ces informations soient de nature spéculative et que leur teneur change considérablement alors que les événements approchent. Saint Denis - Université → Asnières Gennevilliers - Les Courtilles : 0h38, Asnières - Gennevilliers - Les Courtilles. Par un tracé particulièrement difficile, une très forte rampe de 50 ‰ — la plus forte du réseau pour le roulement sur fer[87] — et une suite de courbes et contre-courbes, la ligne retrouve l'air libre et traverse de nouveau la Seine par un viaduc de 411,70 mètres de longueur, placé en position surélevée parallèlement au pont routier, avant de replonger en sous-sol sur la rive gauche en pente de 41 ‰, dans une trémie couverte[88]. Les caissons sont construits sur une plate-forme flottante établie sur la rive droite. De 1992 à 2004, le trafic est en augmentation de 10,8 %, ce qui place la ligne en quatrième position en termes de croissance sur le réseau (hors ligne 14). Ce prolongement de la ligne 13, entamé pendant la Seconde Guerre mondiale, tout comme les livraisons du matériel articulé restent des cas isolés de développement dans les années 1950, ce qui contribue à expliquer le faible empressement à mettre en service les nouvelles stations[12]. Nombre total d'utilisations, entrants directs et correspondances du RER. La Ville de Paris construit une ligne entre Invalides et Croix-Rouge via Duroc, exploitée à partir du 30 septembre 1923 par la CMP sous le nom de ligne 10. Les trains affichent en 2006 un taux d'occupation moyen de 116 %[35]. Ensuite ont été équipées les stations situées entre Montparnasse - Bienvenüe et Saint-Lazare, ainsi que Châtillon - Montrouge, Saint-Denis - Porte de Paris et Basilique de Saint-Denis[54]. Le raccordement de l'ancienne ligne 14 (au sud) à la ligne 13 (au nord) a nécessité une traversée sous-fluviale : celle-ci s'effectue par une pente de 40 ‰ puis une fois la Seine franchie, par une rampe sur la rive droite de 31 ‰. L'extension au nord de Pleyel à Saint-Denis - Basilique sur 2,4 kilomètres est ouverte le 21 mai 1976. Le changement de quai à La Fourche est obligatoire pour les utilisateurs de cette branche, depuis ou vers Asnières - Gennevilliers qui sont invités à La Fourche à suivre les panneaux directionnels pour continuer leur voyage ; sur cette branche, le dernier départ de La Fourche est fixé à 2 h 4[111]. Les branches en banlieue reprennent le style classique de la majorité des stations de métro. La branche Asnières se dirige elle vers le nord-ouest sous l'avenue de Clichy en pente de 40 ‰. Le tracé se poursuit en pente de 40 ‰ afin de franchir en souterrain la tranchée du boulevard périphérique, puis remonte jusqu'à l'ancienne station terminus Porte de Vanves, à trois voies dont une de garage en impasse. Les terrains de consistance très médiocre, constitués d'alluvions ainsi que de sable et de marne, imposent d'ancrer les fondations des ouvrages dans le calcaire grossier très résistant. Châtelet 13 097 € 3. Châtillon - Montrouge → Asnières Gennevilliers - Les Courtilles : 5h35
De 2004 à 2010, le trafic a connu une hausse de 20,65 %. En 2012, la ligne 13 compte 800 agents[41]. Ce projet n'est toutefois pas inscrit au Schéma directeur de la région Île-de-France (SDRIF), adopté par le conseil régional d'Île-de-France le 18 octobre 2013 et approuvé par décret après avis du Conseil d'État le 27 décembre 2013[141]. Cependant, dès l'hiver suivant, le déséquilibre du trafic entre les deux branches atteint 70 % aux heures de pointe. Finalement, le 11 septembre 1978, la ligne reçoit des rames MF 77, surnommé « le métro blanc » à cause de sa couleur initiale, dont la rénovation intérieure a été entamée en 2007. Elle transportait 110 millions de voyageurs par an en 2004, soit jusqu'à 540 000 voyageurs par jour de semaine et 20 000 voyageurs par sens à chaque heure de pointe, chiffres encore accrus après l'ouverture des deux nouvelles stations de la branche Asnières le 14 juin 2008. La ligne 13 propose de nombreuses correspondances avec deux gares SNCF, plusieurs lignes de métro et de tramway, mais ce n'est que fin 2015 qu'une première station, Saint-Denis - Université, est équipée d'une consigne sécurisée pour vélos Véligo[90],[91]. Le coût de ce projet de métro souterrain était compris entre 1 800 millions d'euros et 2 000 millions d'euros, et on estimait entre 36 000 à 42 000 personnes en moyenne sa fréquentation à l’heure de pointe du matin[42]. Dix ans plus tard, c'est la branche d'Asnières qui est de nouveau étendue sur 1,880 kilomètre jusqu'à Les Courtilles, desservant deux nouvelles stations. Pyramides 13 627 € 2. En 1976, elles est équipée de rames modernes MF 67 en prévision de sa fusion avec la ligne 13. Parmi eux figure une femme enceinte dans un état grave[78],[79]. Le troisième prolongement, décidé de fait dès 1928, est mis en chantier en 1975 de Porte de Clichy vers Asnières et Gennevilliers. La date de mise en service est repoussée d'abord à mi-2019[67] puis à mi-2020 à cause d'inondations du chantier par la nappe phréatique[39]. Les dessertes de la ville de Saint-Denis et de la Plaine Saint-Denis auraient, elles, été assurées par le prolongement de la ligne 12 jusqu'à l'église Saint-Denys-de-l'Estrée, à Saint-Denis[9]. Le projet de relier les lignes 13 et 14 est envisagé dès avant la guerre afin de donner plus de cohérence à ces lignes aboutissant au centre de Paris. À la fin des années 1930, à l'ouverture de la ligne 14, les deux stations, alors desservies chacune par deux lignes, sont reliées par un long couloir de correspondance ; en 1942, elles sont regroupées sous un même nouveau nom, Montparnasse - Bienvenüe[16]. Cette première ligne 14, qui a existé de 1937 à 1976, ne doit pas être confondue avec l'actuelle, Ligne B du réseau Nord-Sud, devenue ligne 13, L'ancienne ligne 14 (Porte de Vanves - Invalides), Le prolongement à Asnières - Gennevilliers, Extensions à Saint-Denis - Université et Les Courtilles, Désaturation par un prolongement de la ligne 14, Prolongement au nord de la branche Asnières, Prolongement au nord de la branche Saint-Denis, Projet d'une station supplémentaire à Saint-Denis, « Un tel déséquilibre de trafic entre les branches ne peut conduire qu'au « débranchement » de la ligne [...] il faudra sans doute un jour [la] dédoubler [...] à partir de, « nombreuses réclamations de la clientèle relatives à la sécurité et au manque de fiabilité ». Liège fut par ailleurs jusqu'en décembre 2006 la dernière station du métro de Paris à être fermée après 20 h en semaine (les derniers trains s'y arrêtaient vers 19 h 50), et toute la journée les dimanches et jours de fêtes[103]. Son retard impose quelque temps la conduite manuelle des rames sur cette portion de ligne. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. Mais par un revirement de dernière minute, l’Office des transports revient sur sa décision, estimant peu souhaitable de supprimer la desserte en pointe de la branche Clichy et ajourne donc l'ouverture du prolongement, dans l'attente de la réalisation d'aménagements dans les stations de correspondance et de la livraison du matériel articulé. À la station La Fourche, les rames partent alternativement vers l'un ou l'autre des terminus septentrionaux, tandis que les trains provenant de chaque direction arrivent à un niveau différent. Il se prolonge par une section longue de 275,1 mètres, d'abord en remblai puis en tranchée[26]. La station Varenne est également particulière, puisqu'elle dispose de trois voies (tout comme la station Carrefour Pleyel au nord de la ligne). L'adoption du système de signalisation en cabine Ouragan, initialement prévu pour 2007 est d'abord reporté à 2011[47] pour des raisons de non-conformité au cahier des charges, notamment pour des problèmes de sécurité. Le quai en direction de Châtillon - Montrouge est en effet encadré de deux voies, dont celle située le plus à l'ouest est une voie de raccordement à la boucle du terminus de l'ancienne ligne 14. Le raccordement Duroc - Bienvenüe est achevé en même temps, mais il faut attendre le remodelage de la ligne 10 et l'achèvement du tronçon La Motte-Picquet - Balard de la ligne 8 pour voir la ligne 14 entièrement ouverte. Stations. Les travaux, considérables, entraînent des mises en service échelonnées : le prolongement de Saint-Lazare à Miromesnil est ouvert au public le 27 juin 1973 ; puis jusqu'à Champs-Élysées - Clemenceau le 18 février 1975. Le Grand Paris Express, notre nouveau métro Passer au menu principal Grand Paris Express Societe ... 13.04.2021 . Après décembre 2006, plus de quatre-vingts circulations supplémentaires par jour ont été ajoutées sur la ligne, ce qui représente une augmentation de 10 % notamment sur la desserte d’Asnières aux heures de pointe ainsi que sur toute la ligne aux heures creuses[42]. Bibliothèque Francois Mitterrand 9 518 € La station Berlin — renommée Liège en 1914 lors du déclenchement de la Première Guerre mondiale — est également atypique : l'étroitesse de la rue d'Amsterdam a en effet imposé la construction d'une station à quais décalés[6]. Les travaux se déroulent en trois phases successives. En 2008, le parcours complet de la ligne demande 35 à 37 minutes de Châtillon à Asnières (36 à 38 minutes en sens inverse), et 38 à 39 minutes de Châtillon à Saint-Denis (39 à 41 minutes dans l'autre sens). Sur ce quai se trouvent les reproductions du Penseur et de l’Honoré de Balzac, œuvres majeures de Rodin, afin de présenter le musée Rodin situé à proximité[105]. Communiqué de presse de la RATP - Prolongement de la ligne 13 du métro : Top départ !