[, Ciel mon mardi, le Droit de Savoir, 52 sur la Une[, Parti Nationaliste Français, dirigés par l’équipe du journal, C’est au cours de cette manifestation que Sébastien Dezieux, militant nationaliste, perdra la vie. Ils seront condamnés à 8 mois de prison avec sursis en janvier 1994 pour cette agression. Un certain souci de contenir la violence de rue dans l'objectif de se crédibiliser comme mouvement politique semble se manifester[46]. Groupe action jeunesse 1973 - 1978 Groupe d intervention nationaliste 1972 - 1980 Fraction nationaliste armée révolutionna - Jeunesse française des années 80-90 : la tentation néo-fasciste. Dans la pratique les JNR sont cantonnés à la sécurité des manifestations et rassemblements du mouvement, une activité que les troupes d’Ayoub, à la lecture des bulletins internes du mouvement de l’époque, auront du mal à tenir[6]. "Serge Ayoub annonce un recours contre la dissolution de Troisième voie et des JNR", élections législatives françaises de 1993, « Ils partagent un état d’esprit de clan, de meute », Décret du 12 juillet 2013 portant dissolution d'une association et de deux groupements de fait, Flirt honteux entre lepénistes et skins. Partager: Facebook Twitter. Le Kop Of Boulogne voit le jour à la fin des années 70 en référence au Kop d'Anfield de Liverpool. Fondées à l'automne 1987 autour de Serge Ayoub alias Batskin, les JNR ont pour noyau le « Klan », groupe de skinheads néo-nazis ou plus généralement d'extrême droite[3] parisiens apparu vers 1984. - Jeunesse française des années 80-90 : la tentation néo-fasciste. Le lien est cette fois fait via les paroles des chants, mais aussi par la musique : à l'héroïsation des personnages mythiques correspond la violence musicale[10] ». ★ Nationalisme révolutionnaire Article principal : Nationalisme occitan. Agression de Clément Méric : qui sont les JNR ? Elle l'a dans son ADN. Les JNR nouvelle génération, qui conservent la devise fasciste « croire, combattre et obéir[29] », se présentent eux-mêmes en ces termes : « Conçu pour être le bouclier de son peuple contre les attaques de la réaction et de ses valets du capital mondialisé, le JNR se développe comme un anti-corps social et se constitue uniquement d’hommes décidés, sportifs et aguerris[30] ». Le 22 avril 1990, des journalistes de La Cinq organisent avec les JNR la prise de vue d’une action violente. Sous l’égide de ce quadra, l’OF a pris un virage plus "nationaliste révolutionnaire" sur le fond et a mis l’accent à la fois sur l’activisme radical et sur une sorte "d’entrisme" au sein du FN. Le Klan à cette époque se rend célèbre par ses nombreux actes de violence contre les autres bandes skins et punks, mais également contre des immigrés. Alain Chevarin voit dans cette dernière association[9] « le même recours aux mythes nordiques, celtiques ou aryanisants que nous avons déjà vu à l'œuvre depuis trente ans dans une large part de l'extrême droite, sous l'influence notamment des théories grécistes. En effet, Serge Ayoub a une tendance à se fâcher avec les autres leaders. Groupe action jeunesse (1973-1978) Groupe d'intervention nationaliste (1972-1980) Fraction nationaliste armée révolutionnaire (2007-2008) Personnalités. Lille : manif de l'extrême-droite et protestations. Ayoub fait son retour dans le milieu nationaliste français au milieu des années 2000. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. REFLEXes - Enquêtes et analyses sur l'extrême droite contemporaine, Jeunesses Nationalistes Révolutionnaires (JNR). Jean-Yves Camus souligne, quant à lui, à propos d'une manifestation de février 2013 sur les thèmes « Tous unis contre l’impérialisme » et « Obama ferme-la, la France n’est pas à toi. La DNR est donc un groupuscule fasciste composé de skinheads néonazis. Les JNR ne sont pas le groupe le plus influent mais cherchent clairement à jouer un rôle de plus en plus important. En 1995, le mouvement est réputé proche du Front national de la jeunesse (FNJ) selon les Renseignements généraux (RG) ; Serge Ayoub affirme à cette époque avoir été contacté par Carl Lang « avant les municipales de 1995, pour prendre une tête de liste FN à Stains (Seine-Saint-Denis), dans une banlieue où on n’a plus personne[12]. » Ces auteurs soulignent, comme Nicolas Lebourg, qu'il faut différencier noyaux durs et sympathisants généralement plus jeunes aux choix plus volatils, « tant ces mouvements qui s’apparentent le plus souvent à des bandes agrègent des individus qui restent isolés[34] ». La dissolution de l'association Envie de rêver, gestionnaire du « Local », lieu où se retrouvaient les membres de Troisième Voie et des JNR, est par ailleurs jugée illégale et est annulée, l'État étant condamné à lui verser 2 000 euros au titre de ses frais de justice[53]. Cependant, elles sont à nouveau fortement exposées sur la scène médiatique et politique en juin de la même année, après la mort d'un militant antifasciste du CAPAB[réf. par Thierry Mudry Depuis les années 1924-1925 jusqu’aux élections législatives de septembre 1930 qui, brusquement, projetèrent au premier plan le parti national-socialiste, le militantisme nationaliste était principalement représenté en Allemagne par les groupes paramilitaires (Wehrverbände), héritiers des Corps Francs et par les ligues de jeunesse (“Bünde”)(1). Les JNR sont surtout médiatisées à l'occasion des divers rassemblements unitaires des mouvances d'extrême droite des années 2010. Schéma (2014) : l’extrême droite, mieux la connaitre pour mieux la combattre, L’extrême droite, mieux la connaitre pour mieux la combattre (version 2013), Manifestation nationaliste du 9 juin : Facho Incognito, si ses membres n’étaient pas à proprement parler des militants, le groupe était néonazi, malgré une légende tenace qui voulait que les textes des chansons n’étaient que de la provocation[, Mouvement néo-nazi qui a pris le relais de la FANE[, Il deviendra par la suite responsable de la sécurité pour le PSG via la société Challengers jusqu’au début des années 90[, qu’on retrouvera également dans la version 2010 des JNR[, Certains journalistes à l’époque, à la recherche de sensationnel n’hésitaient pas à « chauffer » la bande d’Ayoub pour filmer quelques agressions. Le peu de choses que l’on sait de la Division Nationaliste Révolutionnaire de Tulle, c’est qu’elle est principalement animée par une personne, Romain Bellonie , rejoint il y a peu par l’ancien secrétaire départemental du Front National de la Jeunesse de Corréze Sébastien Dudognon , qui a donné à la DNR un peu de visibilité. Mercredi soir 5 juin, Clément Méric, militant de la gauche radicale âgé de 19 ans, tombe sous les coups de "proches" des "Jeunesse nationaliste révolutionnaire".Un mouvement d'extrême-droite maintenant ancien puisqu'il a été fondé en 1987 par Serge Ayoub, un skinhead revendiqué qui a juré, dit la légende qui entoure le gros dur, de se battre au moins une fois par semaine. Jeunesse Nationaliste Révolutionnaire. Le 5 mars de la même année, il organise à Vitry-sur-Seine une réunion européenne de skinheads — interdite par la Préfecture de police de Paris — qui rassemble des skinheads italiens, allemands et des représentants du mouvement néonazi anglais Blood and Honour[22]. À la scène, le Front national affiche la rupture. Ce dernier déclare ne plus être nationaliste-révolutionnaire[27] et affirme alors qu'il ne voit plus « de problème racial ou ethnique en France et dans le monde, mais un problème économique et de rapport de force » ; il reprend le slogan « Troisième voie pour une avant-garde solidariste » et se qualifie de « patriote social »[28]. Ce Klan (appelé parfois aussi Nazi Klan ou encore Zyklon Army, pour les besoins de certains reportages télévisés) gravitait autour du groupe RAC Evil Skin[1], Le groupe RAC Evil Skin arborant les couleurs du Klan. Les JNR est un rassemblement de skinheads d’extrême droite, qui a connu deux périodes d’existence : la première de la fin des années 80 au milieu des années 90, et la seconde plus récente, depuis environ 2010. Rentré en France, il va s'atteler à organiser et politiser les jeunes rebelles d'extraction ouvrière, notamment les punks, dans un sens nationaliste-révolutionnaire. Les Jeunes nationalistes révolutionnaires sont un groupe de révolutionnaire nationaliste français dabord créée dans les années 1980 et 1990, et réactivé en 2010-2013. Article principal : Groupe union défense. Composé principalement de skinheads d'extrême droite (boneheads selon leurs opposants) et réputé pour sa violence [1], il est dirigé par Serge Ayoub et lié au mouvement Troisième Voie. Une partie des Forces armées péronistes, mouvement de résistance péroniste argentin, la plupart des membres des FAP venaient du Mouvement nationaliste révolutionnaire Tacuara. Hyper articles en ligne (HAL) Le Portail Archives ouvertes HAL de l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne est accessible en ligne. Selon les termes de Benoît Marin-Curtoud, « l'échec des Jeunesses nationalistes révolutionnaires à fédérer réellement les skinheads est l'aboutissement logique des contradictions internes de l'idéologie des crânes rasés, qui sont à la fois nazis et régionalistes, à la fois révolutionnaires et incapables d'assumer une autre discipline que celle d'une bande urbaine aux contours flous[6] ». Ils filment l’agression de Karim Diallo dans le Quartier latin à Paris. Les raisons de la persistance ou d'un éventuel regain de ce type de mouvement sont jugées invariables : la réaction identitaire à la mondialisation, « leur radicalisation [datant] d’une certaine crise d’identité autour de la mondialisation et de l’Europe »[37] et les difficultés dues à la crise économique[38]. 27 likes. Une partie des Forces armées péronistes, mouvement de résistance péroniste argentin, la plupart des membres des FAP venaient du Mouvement nationaliste révolutionnaire Tacuara. Si, en France, on parle de courant nationaliste-révolutionnaire, en Allemagne on préfère employer le désigner comme nationalrevolutionär. Ils apparaissent également lors des réunions successives organisées par la revue Synthèse nationale de Roland Hélie, notamment en novembre 2010, puis en février 2011, où Serge Ayoub intervient sur le « nécessaire travail dans les syndicats »[43]. par Benoit Taix. The point, as Marx saw it, is that dreams never come true. Citer le Front populaire reste cohérent, même s’il y a un certain anachronisme si l’on se souvient du comportement de l’ultradroite de l’époque à son égard. Obama ferme-la, la Syrie n’est pas à toi », que la thématique anti-impérialiste permet « de se démarquer de la concurrence […] L’anti-impérialisme, ça permet de s’associer à des personnes ou des mouvements qui ne sont pas concernés par [la] concurrence franco-française entre mouvements nationalistes[33]. Dans ma jeunesse nous trouvions cette tentative, considérée comme de centre gauche, fort sympathique. Fin de l'enquête sur la mort du militant antifasciste Clément Méric 31 mars 2016 0. Profils de néonazis, Lille : manifestation d'extrême droite et contre-manifestation antifasciste, « Vive émotion et forte mobilisation après la mort d’un étudiant », « L'Intérieur avance prudemment sur les dissolutions de groupuscules d'extrême droite », « Ayrault annonce la dissolution de groupes d'extrême droite », « Ayrault lance la procédure pour dissoudre l'organisation Troisième Voie », « Groupuscules d'extrême-droite : Troisième voie et JNR annoncent leur dissolution », Mouvement Populaire pour une Nouvelle Aurore, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Jeunesses_nationalistes_révolutionnaires&oldid=180069960, Ancienne association ou organisme politique d’extrême droite en France, Mouvement de jeunesse de parti politique en France, Organisation dissoute en France selon la loi du 10 janvier 1936, Article contenant un appel à traduction en anglais, Portail:Politique française/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence.