Mais également, d'autres composantes de cette nébuleuse eurent des contacts très fréquents avec l'Irak de Saddam Hussein. Après l'échec du Parti des forces nouvelles, certains de ces activistes rallient la droite classique (Gérard Ecorcheville, Alain Robert, Philippe Guignache, José Bruneau de la Salle, Hervé Novelli, Serge Didier, Guy Teissier…), la plupart par le biais de la « machine Albertini » ou par celui du Centre national des indépendants et paysans. Parmi les journaux d’extrême droite publiés en France après 1944, il faut citer Paroles françaises (1946), Verbe (1949), Rivarol (1951), Fraternité française (1954), Défense de l’Occident (1952-82), Jeune Nation (1959), Minute (1962), Europe-Action (1963-67), Militant (1967), Initiative nationale (1975-1981), Pour une force nouvelle (1982), Présent (1982), National-Hebdo (1984-2008), Alliance populaire (1994), Le Choc du mois (1987-93, puis 2006-2011). Mais au sein de l'extrême-droite peuvent s'opposer des courants religieux et athée, libéraux ou rigoristes... Selon Ariane Chebel d'Appollonia, « L'extrême-droite ne peut être perçue qu'en fonction d'une époque et des problèmes posés à un moment particulier de l'histoire, tant il est vrai qu'une force politique est tout autant reflet d'une philosophie politique donnée que témoignage de l'état de la société[3]. Au milieu de l'année 1937, à la suite de la victoire du Front populaire aux élections législatives de 1936, le Front de la liberté est créé notamment à l'initiative de Jacques Doriot, chef du parti populaire français, et regroupe au côté de ce parti et d'autres représentants du fascisme français et de ligues dissoutes la Fédération républicaine, parti représentant la droite républicaine conservatrice au Parlement. Sont fréquemment cités[réf. nécessaire]. Chacun de ces groupes ne dépassait pas une centaine d'individus. La question de sa délimitation suscite le débat, mais plusieurs usages en sont distingués. En effet, l’installation de l’antenne du mouvement d’extrême-droite en 2014 dans cette petite rue tranquille du quartier de la Plaine est vécue comme une provocation par les militants anti-fa qui en ont fait leur fief depuis quelques lustres. Mâcon Le mouvement d’extrême droite Action française s’affiche en centre-ville Depuis plusieurs mois, de petites affiches du mouvement Action française sont régulièrement collées à Mâcon. L'homme suspecté de velléités terroristes qui a été arrêté à Limoges le 26 mai détenait une carte professionnelle d'agent de sécurité. D'autres personnalités ont transité par le CNI pour rallier ensuite le Front national comme Pierre Sergent ou Michel de Rostolan. Trois cadres du mouvement ont été condamnés jeudi à de la prison ferme pour leur opération anti-migrants dans les Alpes en 2018. nécessaire] ». C'est un rebondissement dans l'affaire des cinq noyés de la Deûle. Un immeuble du centre-ville lyonnais, occupé illégalement depuis trois semaines par des militants du groupuscule d'extrême droite, a été évacué sur décision de justice. Création de diverses agences de presse sur internet parmi lesquelles. Des accords ont existé localement directement entre la droite et le Front national : Jean-Pierre Stirbois a été élu en 1984 à Dreux sur une liste commune UDF-RPR-FN. Emmanuel Macron avait demandé lors du dîner du Crif la dissolution de Bastion social, Blood and Honour et Combat 18. La peur d'un coup d'État d’extrême droite disparaît avec l'alternance de 1981, qui se déroule sans incident[6]. Une vidéo, publiée par The Atlantic, montre Richard Spencer, figure de l'"alt-right", saluer samedi à Washington la victoire de Donald Trump à grand renfort de références nazies. Karine Lacombe : "Si on fait comme si l'épidémie était finie, la gifle... ENQUÊTE. Certains de ses membres ont franchi le pas en allant s'entraîner dans des camps paramilitaires, pouvant fournir des combattants aptes au terrorisme, installés en Syrie. La dernière modification de cette page a été faite le 6 mai 2021 à 22:20. Parmi les idées caractéristiques des mouvements classés à l'extrême droite, ont figuré à titres divers notamment l'antiparlementarisme, l'islamophobie, l'antisémitisme ou le nationalisme ou bien encore l'homophobie et le sexisme chez certaines personnes.[réf. Les autorités craignaient "un passage à l'acte violent" contre des musulmans. Le Centre national des indépendants et paysans (le parti de centre-droit d'Antoine Pinay sous la IVe République) a également servi de point de passage vers la droite. Des manifestants de Génération identitaire ont arboré devant sa permanence de Grand-Quevilly, des pancartes clamant : "Aidez les Français ; Pas les Africains". Deux hommes de 30 et 45 ans ont été mis en examen vendredi et écroués dans le cadre de l'enquête sur un projet d'assassinat visant le président en novembre 2018. Une dizaine de militants … incomplète]). Une cinquantaine des individus suivis par la DGSI seraient des fonctionnaires de la sécurité en activité ou à la retraite, militaires, gendarmes, ou policiers[21]. Plus récemment de nouvelles revues sont apparues telles que la revue nationaliste et identitaire Synthèse nationale publiée depuis 2006, le trimestriel Réfléchir et agir. [12] Ce groupe est réputé proche des catholiques intégristes[13] et de l'extrême droite[14]. Le ministère de l’Intérieur a recensé 65 actes violents perpétrés par certains de ces groupes en 2004 . Fondateur du mouvement d’extrême droite L’Oeuvre française, Pierre Sidos était le fils d’un milicien qui fut jugé et fusillé en 1946 pour des faits de collaboration. L e mouvement d'extrême droite Action française a fait irruption au conseil régional d'Occitanie, à Toulouse, jeudi 25 mars. Les think tanks. Certains des groupuscules avaient des contacts avec des militants syriens, recherchés pour leur opposition à Israël. Coup de filet dans l'ultradroite: dix membres mis en examen, Les nouveaux survivalistes, plus écolos que paranos, Néonazis, groupes anti-musulmans, KKK... État des lieux de la haine aux États-Unis, PayPal et la cagnotte "anti-réfugiés" des identitaires: la polémique en 3 actes, Le GUD Lyon expulsé de son squat réservé aux "Français de souche", Noyés de la Deûle: des militants d'extrême droite au coeur de l'enquête, Une jeune scout tchèque s'oppose à un néo-nazi en pleine manifestation, "Heil Trump! Pour l'historienne Ariane Chebel d'Appollonia, « le terme a été appliqué à tant d'opinions ou de programmes politiques différents qu'une signification claire et acceptée par tous reste aléatoire »[1]. Il a été accueilli par une manifestation de militants d'extrême-gauche. Comment la Russie est devenue un des leaders mondiaux de l'agroalimentaire. L’Organisation secrète d’action … Les extrémistes de droite absolutisent ainsi les différences (entre nations, races, individus, cultures). Néanmoins, bonapartistes comme monarchistes disparaissent peu à peu pour laisser place au nationalisme, dont « le boulangisme a dressé l'acte de naissance » et « l'Affaire Dreyfus son acte de baptême » (René Rémond[réf. Le ministère de l’Intérieur a recensé 65 actes violents perpétrés par certains de ces groupes en 2004[réf. Anti-gaulliste après les accords d'Alger, il se rapprocha du RPR en 1976. L’essentiel de l’actualité décryptée au quotidien, Découvrez tous nos articles en illimité pour 1€ seulement, Par Cécile Maisonneuve, présidente de La Fabrique de la Cité, Charlie Hebdo : cinq ans après le choc, le procès, La commission européenne d'Ursula von der Leyen, Alexeï Navalny, opposant russe à Vladimir Poutine, Elon Musk, milliardaire mi-mégalomane, mi-visionnaire, Ce que l'on sait sur la nouvelle tribune de militaires, anonyme et ouverte aux signatures, Une députée LREM visée par des identitaires, soutenue par le gouvernement, L'armée allemande exclut les extrémistes de droite de ses rangs, Mouvances contestataires radicales : le retour de la menace des ultras, Et Génération identitaire s'invita dans la manifestation antiraciste à Paris, Soupçons de terrorisme: le difficile contrôle des agents de sécurité, Ultradroite : le suspect arrêté à Limoges a été mis en examen et écroué, Ultradroite : ce que l'on sait de l'homme arrêté à Limoges dans une enquête antiterroriste, Le recteur de la mosquée de Lyon "inquiet" après une action de Génération identitaire, Le Mans : cinq militants d'extrême droite interpellés après le saccage du centre-ville, Menace de l'ultradroite contre Macron : deux nouveaux suspects mis en examen, Le RN apporte son soutien aux membres de Génération Identitaire condamnés, Yvan Benedetti condamné en appel pour la non-dissolution de l'Oeuvre française, Yvan Benedetti tient des propos négationnistes devant les députés, Le mouvement d'ultra-droite "Bastion social" a été dissous par le gouvernement, Plusieurs figures de l'ultra-droite convoquées à l'Assemblée nationale, La venue de néonazis inquiète la petite commune bretonne de Plélan-le-Grand, Le groupe d'extrême droite Génération Identitaire auditionné à l'Assemblée nationale, Deux locaux du groupuscule d'extrême droite Génération identitaire fermés. À la fin des années 1970 et pendant les années 1980, il accueillit de nombreux anciens militants de groupuscules d'extrême droite, en particulier du Parti des forces nouvelles. La « machine Albertini » était dirigée par Georges Albertini, ancien collaborateur cadre du Rassemblement national populaire. La Fnac vous propose 177 références Toute la Politique : Mouvements Politiques, Extrême-Droite avec la livraison chez vous en 1 jour ou en magasin avec -5% de réduction. Il est très fortement lié avec la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X fondée par l'évêque Marcel Lefebvre en 1970[15]. Cette décision a été prise "pour mettre fin aux exactions répétées commises" en marge de rassemblements de voie publique, selon le ministère de l'Intérieur. Ces quatre familles correspondent respectivement d'après lui, sous forme radicalisée, aux familles de la droite française que sont la droite libérale, la droite gaulliste, la droite morale et la droite sécuritaire[7]. Civitas ne se contente pas d'intervenir dans le débat d'idées, mais propose aussi des « stages techniques ». Les groupuscules d'extrême droite Des Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR) au mouvement Troisième Voie de Serge Ayoub, le gouvernement a lancé … Les mouvements actuellement classés à l'extrême droite en Europe sont souvent accusés de racisme et de xénophobie en raison de leur hostilité générale à l'immigration et des positions ouvertement racistes revendiquées par certains d'entre eux. Échiquier et idéologies politiques en France, « le terme a été appliqué à tant d'opinions ou de programmes politiques différents qu'une signification claire et acceptée par tous reste aléatoire », « L'extrême-droite ne peut être perçue qu'en fonction d'une époque et des problèmes posés à un moment particulier de l'histoire, tant il est vrai qu'une force politique est tout autant reflet d'une philosophie politique donnée que témoignage de l'état de la société, Principales organisations d'extrême droite en France existantes, Principales organisations françaises d'extrême droite disparues, Nationalisme révolutionnaire et Solidarisme, Actions politiques de l'extrême droite française, Liens entre ultra-droite et forces de sécurité françaises, Penseurs de la mouvance française d'extrême droite, « le boulangisme a dressé l'acte de naissance », « l'Affaire Dreyfus son acte de baptême », « Les extrêmes droites véhiculent une conception organiciste de la communauté qu'elles désirent constituer (que celle-ci repose sur l'ethnie, la nationalité ou la race) ou qu'elles affirment vouloir reconstituer. Comment lui a-t-elle été accordée ? À l'inverse, des recrues de la « Nouvelle Droite » telles que Bruno Mégret et Jean-Yves Le Gallou, respectivement issus du RPR et de l'UDF, s'éloigneront de la droite « classique » pour rejoindre le FN dans les années 1980 puis fonder le MNR dans les années 2000. Disparition Pierre Sidos, figure de l'extrême droite, est mort . Au-delà de cette diversité, on peut tout de même retenir quelques traits récurrents de l'extrême droite française, souvent opposée au régime républicain : une droite de refus, de rejet. AFP PHOTO THOMAS SAMSON. « Les extrêmes droites véhiculent une conception organiciste de la communauté qu'elles désirent constituer (que celle-ci repose sur l'ethnie, la nationalité ou la race) ou qu'elles affirment vouloir reconstituer. Version française du mouvement Kach du rabbin Khahane, la LDJ se distingue par sa violence et son soutien à l’extrême droite israélienne. L’extrême droite en France est une notion abstraite associée à une partie de la classe politique française, en évolution depuis la Révolution française jusqu'à nos jours. Les groupes les plus importants se trouvent en Alsace, en région PACA, en Île-de-France. nécessaire] La plupart de ces mouvements sont anticommunistes. Alain Robert, Hervé Novelli, Philippe Guignache, Yves Van Ghele, entre autres sont passés par le CNIP avant de rejoindre la droite classique. Selon une source proche du dossier, le suspect présente un profil proche des milieux d'extrême droite et serait fasciné par les tueurs de masse. Les services de renseignements redoublent de vigilance. Ils tendent à mettre les inégalités sur le même plan que les différences… », « engagé dans l’instauration de la Royauté sociale du Christ sur les nations et les peuples en général, sur la France et les Français en particulier », Ce type d'extrême droite se distingue des autres par la référence directe de certains groupes à l'époque nazie. Plusieurs mouvements d'extrême droite avaient organisé une levée de fonds pour entraver le sauvetage des réfugiés en mer Méditerranée. Marc Frederiksen, créateur du journal Notre Europe, fut d'ailleurs condamné pour avoir publié un encart en faveur de la libération de Rudolf Hess.[réf. French tech : pourquoi des géants français ne verront jamais ... Frédéric Filloux : L'innovation, pied au plancher, Cécile Maisonneuve : Les énergies nouvelles et le syndrome Kandinsky. La ville de Lyon a fermé, par arrêté municipal, un bar et une salle de boxe du groupuscule d'extrême droite pour des questions de "sécurité incendie". Rejet des institutions gouvernementales ou constitutionnelles, remise en cause de l'ensemble des institutions civiles, administratives, sociales, économiques et religieuses. Selon un document de référence, publié en 2002 par le Centre social de Montbrison, l’extrême droite constitue, sous des noms différents, l’une … La salle lui répond notamment par des saluts hitlériens. "Il s'agit de la survie de notre pays, de votre pays", écrivent dans "Valeurs Actuelles" les auteurs de ce texte, des militaires "entrés récemment dans la carrière". Le mouvement identitaire est apparu en France au tournant du siècle avant d’essaimer ailleurs en Europe. Les outils de propagande. » L'extrême droite française n'échappe pas à cette règle. Civitas, aussi connu sous le nom de France Jeunesse Civitas ou Institut Civitas, est un mouvement social et politique français qui se définit lui-même comme un « lobby catholique traditionaliste »[11], un mouvement « engagé dans l’instauration de la Royauté sociale du Christ sur les nations et les peuples en général, sur la France et les Français en particulier ». Création du « Comité d'entraide aux prisonniers européens », qui aide les nationalistes emprisonnés, proche des Identitaires. Cet organicisme implique le rejet de tout universalisme au bénéfice de l'« autophilie » (la valorisation du « nous ») et de l'« altérophobie » (la peur de « l'autre », assigné à une identité essentialisée par un jeu de permutations entre l'ethnique et le culturel, généralement le cultuel). C'est effectif pour le premier depuis ce mercredi. Le mouvement d'ultradroite Génération identitaire a revendiqué la projection de visuels dénonçant des appels à la prière sur le minaret de la mosquée. L'anticommunisme est leur étendard de ralliement et est selon certains le véritable seul point commun entre les libéraux de la droite et l'extrême droite. Depuis la conférence de Yalta, qui aurait mis au point selon eux un « partage du monde », certains mouvements classés à l'extrême droite défendent l'antiaméricanisme. Le groupe Division nationaliste révolutionnaire doit se rassembler pour un concert afin de commémorer la naissance d'Hitler. De nombreux journaux d’extrême droite ont été publiés en France au début du XXe siècle : Le Nouveau Siècle (1925), Le Franciste, Les Cahiers, La Revue française, Combat, Plans, Je suis partout. Cet organicisme implique le rejet de tout universalisme au bénéfice de l'« autophilie » (la valorisation du « nous ») et de l'« altérophobie » (la peur de « l'autre », assigné à une identité essentialisée par un jeu de permutations entre l'ethnique et le culturel, généralement le cultuel). Dans la soirée, des militants d’Action Française, mouvement historique du fascisme et du royalisme en France, ont déployé place de la Concorde une banderole : « Décapitons la République ». Henry Charbonneau (directeur), Philippe Henriot, Paul Marion, Abel Bonnard, Paul Morand[22], Jacques de Lacretelle, Roger Vercel, Pierre Mac Orlan comptent parmi les rédacteurs du journal collaborationniste Combats (organe de la Milice). De 1986 à 2004, la région Languedoc-Roussillon était administrée par Jacques Blanc avec le soutien des élus du Front national. En 2004, d’après les renseignements généraux français, il existerait entre 2 500 et 3 500 militants ou sympathisants des différents groupes d'extrême droite (sans compter le FN et le MNR). condamnée unanimement, y compris sur les bancs du Rassemblement national. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Plus radicaux, les membres de revues telles Le Devenir européen et Notre Europe, reprirent les thèmes de la Collaboration. Mouvement royaliste autrefois école de formation d’extrême droite, l’AF organise toujours des rassemblements ou des débats, mais aussi des actions « coup de poing », attirant à lui une nouvelle génération de militants. Roland Gaucher écrit à leur sujet : « un certain nombre de ces récupérés (Madelin, Ecorcheville, Van Ghell, Nicolas Tandler) sont passés par la machine à laver ultra-silencieuse de feu Albertini et de l'IST[réf. En, associant ces informations à des références, Association pour défendre la mémoire du maréchal Pétain, Fédération d'action nationale et européenne, Union de défense des commerçants et artisans, Cellule autonomiste et totalitaire Tiwaz 2882, Centre national des indépendants et paysans, Les médias, l'énarchisation du FN et la diabolisation de l’adversaire, Génération identitaire : son sort dépend de Hollande, « Au cochon ou aux saucisses, notre soupe identitaire continue ! Les groupuscules extrémistes violents, de gauche comme de droite, font à nouveau parler d'eux. Des Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR) au mouvement Troisième Voie de Serge Ayoub, le gouvernement a lancé une série de procédures pour demander la dissolution de groupuscules d'extrême-droite. Les membres de ce groupe ont été interpellés dans la nuit de samedi à dimanche. Une fois ralliés à la droite, les ascensions politiques de ces personnalités seront diverses, plus ou moins couronnées de succès. Le 9 avril 2018, le journal Mediapart publie un article, fruit d’une enquête menée depuis octobre 2017, affirmant que la DGSI et la SDAT s’inquiètent de la part grandissante de membres ou anciens membres des forces de sécurité, notamment des anciens militaires, liés à l’ultra-droite violente et ayant rejoint des groupuscules d’« autodéfense ». Les groupes les plus importants se trouvent en Alsace, en région PACA, en Île-de-France.