Wellicht vind je het woord op één van deze websites: La création de milices comme les corps francs illustra cette évolution[8]. Toutefois les États gardaient en partie leurs autonomies. Il espérait que dans un futur évidemment distant, les nations libres se rassembleraient au sein d'une Europe fédérale avec une assemblée fédérale chargée de réguler leurs intérêts communs. La dislocation économique, culturelle et sociale de la société, les difficultés d'une économie en transition et la pression des désastres météorologiques contribuèrent à aggraver les problèmes en Europe centrale[45]. Aussi importantes que ces améliorations aient pu être, elles ne purent pas concurrencer l'impact du chemin de fer.
D'après le Traité de Francfort, la France devait céder les territoires d'Alsace-Lorraine, payer une forte indemnité, calculée sur la base de la population, comme l'avait fait Napoléon Bonaparte en Prusse en 1807[118] et devait accepter, enfin, l'occupation allemande de Paris et d'une grande partie du nord de la France jusqu'au paiement de cette indemnité[119].
La rivalité entre l'Autriche et la Prusse influait fortement dans les affaires impériales. Espérons que vous utiliserez votre énergie pour renverser les trente tyrans miteux des divers États allemands.
En 1870, trois leçons importantes de la Guerre franco-prussienne pouvaient être tirées : à travers la force des armes, un État puissant pouvait défier les vieilles alliances et les sphères d’influences mises en place en 1815 ; à travers des manœuvres diplomatiques, un dirigeant doué pouvait créer un environnement dans lequel un État devrait déclarer la guerre en premier, forçant ainsi les autres États à entrer dans des alliances protectrices pour venir en aide à la soi-disant victime de l’agression extérieure ; enfin, comme sa capacité militaire excédait de loin celle de l’Autriche, la Prusse était visiblement le seul État au sein de la Confédération ou de l’ancien Empire romain germanique à pouvoir protéger les États allemands contre une potentielle agression.
Certains historiens continuent à débattre pour savoir si Otto von Bismarck, le ministre-président de Prusse, avait un plan défini pour étendre la Confédération de l'Allemagne du Nord de 1866 aux derniers États allemands au sein d'une unique entité ou s'il souhaitait simplement étendre le pouvoir du royaume de Prusse.
De nombreux historiens modernes décrivent ce mythe, sans pour autant y souscrire : Des exemples de cet argument apparaissent dans : Pour une explication de cet argument, voir. Comme le réseau s'agrandissait, il devenait moins cher de transporter les marchandises, passant de 18 pfennigs par tonne et par kilomètre en 1840 à 5 en 1870. Les voyageurs, étrangers et nationaux, se plaignaient souvent de l'état des Heerstraßen, les routes militaires autrefois entretenues pour faciliter le déplacement des troupes. L'unification eut lieu sur la base d'une tradition de collaboration légale issue du Saint-Empire romain germanique et avec la collaboration économique à travers le Zollverein. Dans les années 1990, cette dernière vision devint la théorie acceptée même si certains historiens[61],[62] continuent d'utiliser l'idée du Sonderweg pour comprendre la période du national-socialisme[63].
Leurs modes de gouvernement étaient également très variés, des villes libres d'Empire (telles que la puissante Augsbourg ou la minuscule Weil der Stadt), des territoires ecclésiastiques (comme la riche abbaye de Reichenau ou l'influent électorat de Cologne) et des États dynastiques (comme le Wurtemberg). Premièrement, son discours, et la phrase « les grandes questions de notre temps ne se décideront pas par des discours et des votes à la majorité » est souvent interprétée comme un refus du processus politique, une position dont Bismarck ne s'est jamais fait l'avocat[Note 5].
Le Bunderstag avait le droit de faire passer, d'amender ou de rejeter la loi mais ne pouvait pas initier sa rédaction, rôle réservé au chancelier. Les grands discours, les étendards, les étudiants volontaires et les rassemblements festifs ne se concrétisèrent pas dans l'appareil politique, bureaucratique ou administratif. La période de répression et de forte censure précédant les Révolutions de 1848, menée par la Prusse et l'Autriche, devint largement connue sous le nom de Vormärz (l'« avant-mars »), en référence à mars 1848. Le rôle décisif joué par les troupes de Blücher, particulièrement après leur retraite à Ligny aida à renverser le cours de la bataille contre les Français. Vertalingen met grof of informeel taalgebruik worden meestal rood of oranje gemarkeerd. L’installation d’un roi Hohenzollern en Espagne signifierait que deux pays de chaque côté de la France auraient des rois allemands de la lignée des Hohenzollern, ce qui était très intéressant pour Bismarck mais inacceptable pour Napoléon III ou pour Agénor de Gramont, son ministre des affaires étrangères. De nombreux systèmes de vote furent créés des suites de l'action révolutionnaire. - En 1866, sous le prétexte de désaccord dans l’administration du Holstein, Bismarck provoque une guerre entre la Prusse et l’Autriche soutenue par plusieurs Etats allemands.