Lire la suite, Fils du roi des Romains, Rodolphe I er de Habsbourg, Albert d'Autriche, se porte candidat à la succession de son père en 1291, mais cet homme sévère et violent, qui se refuse à toute concession, déplaît aux électeurs qui lui préfèrent Adolphe de Nassau, obscur seigneur de la basse vallée du Rhin. « Saint-Empire romain germanique » expliqué aux enfants par Vikidia, l’encyclopédie junior, Saint-Empire romain germanique au Moyen Âge, Saint-Empire romain germanique à l'époque moderne, https://fr.vikidia.org/w/index.php?title=Saint-Empire_romain_germanique&oldid=1177533, Creative Commons Attribution-Share Alike 3.0. Au xiii e […] Rodolphe 1er de Habsbourg, élu en 1273, n'a cure d'entrer dans les querelles italiennes et se satisfait du gouvernement de l'Allemagne et dédaigne de faire le voyage à Rome.
Lire la suite, Dynastie allemande, influente du xii e  siècle à 1918. Devenus purement honorifiques, le titre impérial et le Saint Empire romain germanique seront abolis le 12 juillet 1806 par Napoléon 1er. Les échecs de ce dernier incitent, cependant, les électeurs à donner la couronne royale au duc Albert […] Important : l'approbation du pape n'est plus requise pour valider l'élection. «  SAINT EMPIRE ROMAIN GERMANIQUE  » est également traité dans : 962 Otton Ier, vainqueur des Hongrois en 955, reçoit du pape Jean XII la couronne impériale à Rome (2 février).972 Mariage de Théophano de Byzance et du futur Otton II (973-983), fils d'Otton Ier.1024 Mort d'Henri II (1002-1024). Le Saint-Empire romain germanique est un ensemble de territoires allemands et italiens qui étaient théoriquement soumis à un empereur d'origine allemande. Après Strasbourg obligée d'élargir plusieurs fois son enceinte, Haguenau, sise aux portes d'un château impérial, reçoit un privilège de Frédéric Barberousse (1164). L'Empire romain d'Occident disparu en 476, restauré par Charlemagne en 800, fut relevé par Otton I er, roi d'Allemagne, en 962 et prit dès lors le nom de Saint-Empire romain germanique. Aux xii e et xiii e  siècles apparaissent un peu partout en Occident chrétien des symptômes inquiétants d'une dégradation de la condition juive.  : […] Un prince-électeur (du latin : princeps elector ; en allemand : Kurfürst) était le titulaire d'un titre de haute noblesse attribué aux plus hauts princes du Saint-Empire ayant le privilège d'élire le roi des Romains, avant son couronnement comme empereur par le pape.Le statut des sept princes-électeurs fut défini par la Bulle d'or promulguée par l'empereur Charles IV en 1356. La faiblesse de l'empire byzantin au VIII e siècle avait favorisé le couronnement de l'an 800. 2  …pour nos abonnés, l’article se compose de 7 pages, Allemagne, Xe siècleCrédits : Encyclopædia Universalis France, Allemagne, XIIe-XIIIe siècleCrédits : Encyclopædia Universalis France, L'empereur SigismondCrédits : Hulton Getty, Allemagne, vers 1350Crédits : Encyclopædia Universalis France. En savoir plus. Il a reçu en 1134, de Lothaire de Supplinburg, l'Altmark, ou Marche du Nord ; il parvient à s'implanter très solidement sur la rive droite de l'Elbe. C'est ainsi que Philippe Auguste expulse les juifs du domaine royal en 1182 pour mettre la main sur leurs biens et renflouer le Trésor, avant d'autoris […] Sa troisième composante est le royaume d'Arles et de Vienne, précédemment royaume de Bourgogne et de Provence. Lire la suite, Dans le chapitre « Libertés et urbanisme dans le cadre du Saint Empire romain germanique »

 : […]

Lire la suite, Dans le chapitre « Le dernier visage du Premier Reich (1648-1806) »
Après avoir été défaite en 1258, Gênes s’allia à l’empereur byzantin Michel VIII Paléologue et réussit à libérer Constantinople en 1261. Ce faisant, il lui semblait purement et simplement assumer la continuité carolingienne, après un hiatus de trente-huit ans. Le nom, adopté pendant le premier quart du xii e  siècle, vient d'Aschersleben (Ascaria ou Ascania en latin), où les comtes de Ballenstädt possédaient un château au milieu de leurs domaines, au nord-est des montagnes du Harz. Les juifs dépendent de plus en plus du seul bon vouloir du prince qui peut disposer d'eux à sa guise.

Il est élu à la Diète de Francfort par une poignée de Grands Électeurs germaniques (évêques et seigneurs). redémarra et se fit plus rude. C'est ce qui reste de la Francie médiane ou Lotharingie. Pendant toute cette période, les empereurs appartiennent – sauf u […] – représentés par la Diète de Ratisbonne. Sans infrastructures ni administration autre que celle de l'Église, le nouvel empire est une très pâle copie de l'empire romain, disparu depuis près de 500 ans, et de l'empire carolingien disparu depuis un demi-siècle. Une lettre pour tous les passionnés d'Histoire. Marcel PACAUT, Le Saint Empire romain germanique remonte au sacre du duc de Saxe Otton le Grand, le 2 février 962, à Rome.

U […] Les conditions de l'élection sont fixées en 1356 par l'empereur Charles IV dans une « Bulle d'or » qui limite à sept les Princes Électeurs. À sa tête, un empereur désigné par huit (neuf en 1692) Électeurs, laïcs et ecclésiastiques, protestants et catholiques. Les assises territoriales de cet empire étaient toutefois différentes dès l'origine, puisqu'il allait comprendre essentiellement le royaume de Germanie (réparti en six duchés : la Saxe, la Bavière, la Franconie, la Souabe, la Lorraine, la Bohême, devenue royaume au xiie siècle) et celui d'Italie (encore que l'action du monarque fût pratiquement nulle dans les contrées méridionales), auxquels viendra s'ajouter en 1038 le royaume de Bourgogne (c'est-à-dire les pays compris entre la Saône et le Rhône à l'ouest, les sommets alpins et les confins germaniques en Bavière et Souabe à l'est, et la plaine suisse, le Jura, les régions alpines de France, la Provence au nord).