Vraiment nul, sans le moindre intérêt.
Le petit minois d'Haydée finira peut-être par me souffler la réponse... en rêve.
Le cinéma français de cette époque, et notamment cette "Collectionneuse" de Rohmer, a fait du sexisme pontifiant et de l'intellectualisme creux la matière de ses oiseuses, laborieuses productions. Si le surplus excessif des dialogues et l'effet de stagnation provoqué par le scénario peuvent agacer, La Collectionneuse est aussi un film dont il faut savoir apprécier l'humour, le charme, l'investissement sympathique des interprètes (la jolie petite frimousse d'Haydée Politoff). 7 abonnés
Un rythme lent, typique de Rohmer, pour les amoureux des aphorismes sagaces et admirablement écrits du normalien. Avec 11 abonnés 357 abonnés
(VIDEO) Un film qui n'est pas sans charme. Lire ses 559 critiques, Suivre son activité Le thème de « la collection » est ici très intéressant puisqu’il évoque pour Adrien à la fois son travail de vendeur et la relation qu’il entretient avec Haydée. ), bref, donc, heureusement qu'il y à quelques scènes chaudes comme un trio sur un billard. Morale sans cesse remis en question par une liberté sexuelle.
151 abonnés
Mais Rohmer est un virtuose... Lire ses 113 critiques, Suivre son activité Le but de ses vacances étant de mettre en œuvre le nihilisme philosophique en prônant l’inactivité. Il prend le temps de montrer la plage, le petit friselis des vagues, l'air chaud de l'été, un misanthrope lisant Rousseau à l'ombre d'un arbre, des types nihilistes qui n'entreprennent absolument rien (Daniel, l"ami" de Adrien veut atteindre le Néant en ne faisant tout bonnement rien); et tout cela avec un naturel plaisant (n'oublions pas que le "naturel" était l'indication de jeu principale que Marivaux donnait à ses acteurs), sans jamais être démonstratif - aucun gros plan maladroit ne vient ainsi s'immiscer dans le flux, dans le courant des images. Revue de presse | Psychologiquement parlant, peu de films se sont révélés aussi profonds.
Entre l'envie d'agir et celle de ne rien faire il y a la figure d'Haydée, jeune fille volage mais appétissante. Par contre, j'ai été déçu de la participation plus que restreinte d'Estelles Desanges puisqu'on la voit à peine quelques sécondes. Plus encore que Manuel Valls (de Vienne, visiblement, il est aussi un peu autrichien, le pauvre) ou Arnaud Montebourg (il parle comme un noble mais ça reste un maghrébien), davantage que François Fion ou Jean-François Copé (Copé comme cochon) ; dire Rohmer, évoquer ce blase en ma présence, c'est gage de me voir... En fait, elle annonce la femme libérée à venir, le MLF,: elle choisit ses amants , elle ne veut pas être une amoureuse soumise..Elle annonce tout le cinéma féminin à venir ; Kaplan, Ackerman... C'est une beauté fragile avec sa petite frimousse espiègle..Une sourire charmeur pour une vraie diablesse.
Suis-moi je te fuis, fuis-moi, je te suis... Les moches sont une insulte envers l'humanité entière, Lire l'avis à propos de La Collectionneuse, Nature et Cinéma : une grande histoire d'amour, Plus c'est long, plus c'est bon : ces plans-séquences merveilleux, Jolis garçons du 7e art d'hier et aujourd'hui.
J'en dois être à mon quinzième de lui ou quelque chose comme ça, et j'ai l'impression d'être ressorti comme si je découvrais ce réalisateur ; car chacun de ses films est comme un renouveau, alors même que l'on sait qu'au sein de ces 6 contes moraux l'histoire sera la même dans les grandes lignes (d'ailleurs c'est mon dernier de ce cycle). Retrouvez toutes les dernières critiques sur le film La Collectionneuse, réalisé par Fred Coppula avec Clara Morgane, Greg Centauro, Melinda Gal. Antoine de Maximy, Alice Pol, Max Boublil, De 33 abonnés Vincent Lindon, François Damiens, Contact | Lire ses 1 583 critiques, de
La collectionneuse constitue le 4ème film des Six Contes Moraux.
Mais tout cela sur un ton badin, presque du marivaudage.