Le 17 octobre 1895, des révolutionnaires arméniens occupèrent la Banque Nationale de Constantinople, prenant 100 personnes … L’enquête qui démarre ne tarde pas à découvrir qu’il s’agit d’une fausse identité. Brutal et omnipotent, Talaat P… Les chrétiens arméniens étaient l'un des nombreux groupes ethniques vivant dans l'Empire ottoman. Encore à l'heure actuelle, certains survivants amérindiens se disent victime de discrimination au \"pays de la liberté\". Nombre de victimes du génocide. Criminels Khmers en procès. Marqué par les défaites militaires et les tensions au sein de l’État, le gouvernement ottoman décide la déportation et le massacre des Arméniens en 1915-1916, provoquant la mort d’environ 1,2 à 1,5 … La nouvelle de son assassinat fait la une des quotidiens internationaux dès le lendemain. Il se nomme en réalité Talaat Pacha. C'est le début d'un génocide, le premier du XXe siècle. Le génocide juif est certainement l'un des plus connu du 20 ème siècle avec la terreur exercée par Adolf Hitler durant plusieurs années. Le Figaro n’hésite pas à le qualifier de «tyran de petite envergure mais aux ambitions démesurées» et rappelle son passé. Le génocide est estimé entre 80 et 100 millions de victimes. Chiffres comparatifs -Génocide Khmer du Cambodge: 1,7 à 2 millions de morts (entre 1/4 et 1/5 de la population décimée) -Génocide arménien: 1,5 million de morts -Génocide juif: 6 millions de morts . Le génocide arménien est le massacre organisé des Arméniens vivants dans l'empire ottoman, ... Les Arméniens ont alors été victimes de massacres, de déportation vers le désert syrien (une région de l'empire turc) et de famine. Chum Mey, survivant du génocide, se rappelle tout spécialement de l'horreur des tortures: Il va faire environ 1,2 à 1,5 million de victimes dans la population arménienne de l'empire turc (ainsi que plus de 250 000 dans la minorité assyro-chaldéenne des provinces orientales et 350 000 chez les Pontiques, orthodoxes hellénophones de la … On estime à 11 m… À la fin des années 1880, certains d'entre eux formèrent des organisations politiques dans le but d'obtenir une plus grande autonomie, ce qui ne fit que renforcer les doutes des Ottomans quant à la loyauté de la communauté arménienne dans son ensemble à l'intérieur de leurs frontières. L'auteur turc Taner Akçam montre qu'un rapport militaire turc du Lieutenant Colonel Nihat, en 1928, considère que ces 800 000 arméniens n'ont plus été précisément « tués » ou « massacrés », mais ont simplement péri. Par la suite, l'historien Bayur a écrit : « 800 000 Arméniens et 200 000 Grecs sont morts du fait des déportati… A l'arrivée des Européens en Amérique, les natifs Amérindiens ne se doutaient pas de ce qu'ils allaient subir. Cependant, à la suite de la dissolution du tribunal militaire, ces données ont été constamment réinterprétées pour représenter finalement l'ensemble des pertes humaines arméniennes. La victime de ce crime de sang-froid était en possession de papiers au nom d’Ali Salieh Bey, homme d’affaires résidant au numéro 4 de la Hardenbergstrasse.