vous désinscrire à tout moment.*. Vasken Sulukdjian raconte les Arméniens et les peuples du Proche-Orient, La reconnaissance du génocide arménien, « une punition contre la Turquie ». La Chambre des représentants des États-Unis a reconnu hier l’existence du génocide arménien. Pourquoi et contre qui ? Pourquoi aller lécher les bottes de Poutine (il a raison le micro sultan apprenti, je le conseille de continuer ainsi...) alors que la Douma (le parlement russe) a reconnu le génocide arménien commis par la Turquie le 14 avril 1996....et l'amitié entre la Russie et l'Arménie est indéfectible. Alors que les relations américano-turques sont loin d’être au beau fixe, d’autant plus après l’intervention armée d’Ankara dans le nord de la Syrie, cette résolution inédite a suscité un fort mécontentement coté turc. La reconnaissance du «génocide» intervient au moment où les relations entre Washington et Ankara, deux alliés au sein de l’OTAN, traversent d’importantes turbulences. La dégradation des relations entre les deux pays est liée à plusieurs facteurs, comme la décision de la Turquie d’acheter les missiles russes S400. Dans ce reportage, un journaliste présente une consultation de télémédecine. Félicien Kabuga, le « financier » présumé du génocide des Tutsis du Rwanda a été arrêté le 16 mai 2020 près de Paris, au terme de plus de vingt ans de cavale.... On attend de Macron beaucoup de choses, qu'il fasse reconnaître à Erdo. En janvier 2001, la France avait été le premier grand pays européen à reconnaître officiellement le génocide des Arméniens de l’Empire ottoman. Le «génocide arménien» est reconnu par une trentaine de pays et de nombreux historiens. Le fait que cette décision intervienne après l’offensive turque dans le nord de la Syrie n’est clairement pas non plus anodin. (Lire aussi : Vasken Sulukdjian raconte les Arméniens et les peuples du Proche-Orient).

Donc, il y a plus de pressions pour faire reculer la position de la Turquie ».

Les droits les plus basiques des Ottomans étaient d'éliminer par la famine le tiers de la population chrétienne du Mont-Liban en 1915/. Des Turcs manifestent devant le consulat de France, le 24 janvier 2012 à Istanbul. Sur le fond, elle n’a jamais changé. La Turquie avait clairement fait savoir qu’elle y était fermement opposée et que cette décision impacterait fortement les relations entre les deux pays. Le début d’une campagne de déportations qui allait effacer une grande partie des Arméniens de la carte de l’Anatolie. «Il y a un point d’interrogation», a-t-il ajouté. » C’est, en quelques mots, la position turque. La principale raison est liée aux tensions actuelles qui rythment les relations entre la Turquie et les États-Unis.

Dans la forme, elle avait un peu évolué après l’arrivée au pouvoir de Recep Tayyip Erdoğan. Tribune Si la femme arménienne se racontait... La Chambre des représentants des États-Unis a reconnu hier l’existence du génocide arménien.

Mardi, la Chambre des représentants des États-Unis a adopté, à une écrasante majorité, un texte appelant à «commémorer le génocide arménien», à «rejeter les tentatives (...) d’associer le gouvernement américain à la négation du génocide arménien» et à éduquer sur ces faits.

Les droits fondamentaux les plus basiques de la Turquie post-Kémaliste est d'exterminer jusqu'au dernier les 40 millions de Kurdes sous les regards hébétés de 192 Etats Membres de l'ONU. «Un pays dont l’histoire est entachée par des génocides et l’esclavage n’a ni le droit de nous faire des remarques, ni le droit de nous donner des leçons», a lancé M. Erdogan. Interrogé par des journalistes après son discours mercredi sur une visite prévue le 13 novembre à Washington, M. Erdogan a déclaré qu’il n’avait «pas encore pris (sa) décision».
Le président Donald Trump, qui avait dans un premier temps semblé y donner son feu vert en annonçant le retrait de troupes américaines déployées dans cette zone, a durci le ton et autorisé des sanctions contre la Turquie.

«Je m’adresse au public américain et au reste du monde: cette mesure n’a aucune valeur, nous ne la reconnaissons pas», a déclaré M. Erdogan lors d’un discours devant les députés de son parti à Ankara. Avec notre correspondante à Istanbul, Anne Andlauer. Il y croit et il pousse son pays à réinventer l'empire ottoman, un empire déchu, et impossible.

Surtout que la Turquie est une alliée de l’OTAN de longue date. Publié le : 24/04/2019 - 00:23 Modifié le : 24/04/2019 - 09:54. Le 2 juin 2016, le Bundestag allemand reconnaît le génocide arménien à l'unanimité moins une voix contre et une abstention, ajoutant que l'Empire allemand porte une part de responsabilité comme principal allié militaire de l'Empire ottoman [48]. S’il n’a pas précisé sur quoi celui-ci porterait, M. Erdogan a déjà critiqué dans le passé le traitement des Amérindiens et le passé esclavagiste des États-Unis. Jeffrey Mankoff répond aux questions de « L’OLJ » concernant la décision symbolique du Congrès américain. «Dans notre foi (musulmane), le génocide est interdit (...) Nous voyons cette accusation comme la plus grande insulte qui soit à notre nation», a ajouté le président turc. © 2020 L’Orient-Le Jour Tous droits réservés, Veuillez vérifier votre saisie et réessayer. L’opération déclenchée par la Turquie le 9 octobre dans le nord-est de la Syrie contre une milice kurde soutenue par les États-Unis a suscité l’ire de responsables et d’élus américains.
En 2014, l’actuel président turc avait présenté des condoléances aux descendants des Arméniens. La cour d'appel de Paris a confirmé, le 3 juillet 2020, le non-lieu prononcé fin 2018 pour neuf Rwandais, proches de Paul Kagame, dont sept qui étaient mis en examen, dans l'enquête sur l'attentat... C’était l’un des fugitifs les plus recherchés au monde. C’est l’affaire des historiens, pas celle des politiques.