"Sauver ou périr", la devise des sapeurs-pompiers de Paris est lourde de sens après la mort de deux d'entre eux dans l'explosion de la rue de Trévise samedi.

Nous étions tous les deux complètement bouleversés par ce couple, par sa bataille et sa force. «Suis-je un monstre ou encore un être humain ?» C’est une question qui hante le cinéma depuis toujours. Le Masque fait fi des campagnes de promotion entourant la sortie des films ou des livres, et son indépendance a forgé sa crédibilité, déclare-t-il. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Vous utilisez souvent, dans votre vocabulaire, les mots «bienveillance», «fraternité», «compassion»… Un mois et demi avant le tournage, Frédéric Tellier et moi avons essayé de faire une lecture du scénario. Oui. Cette préparation fut pour moi une expérience humaine inoubliable. Le titre est la devise de la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris. Et particulièrement Franck. Pour m’inspirer, cela peut être très divers : un film de Charlie Chaplin ou de Martin Scorsese, une musique qui prend son temps, comme celle de Pink Floyd ou de Bon Iver, des pages de Dostoïevski, un tableau d’Edward Hopper, une pièce de Thomas Ostermeier ou un film avec Cate Blanchett…. Il crée des hiérarchies, permet de voir ce qui est important et ce qui ne l’est pas.

Les gens que j’ai rencontrés pour sa préparation ont une maturité impressionnante sur des sujets essentiels : la vie, la mort, la fragilité et donc, aussi, sur la beauté de nos existences. Le fait d’être masqué pendant toute une partie du film offre en réalité une grande liberté de jeu.

Nathalie Chifflet, « Le feu sacré du héros pompier ». Vous êtes connu pour préparer vos rôles avec minutie. Sauver ou périr est un drame français réalisé par Frédéric Tellier, sorti le 28 novembre 2018 [1]. Animée à ses débuts par Michel Polac et François-Régis Bastide, l'émission a été dans les années 60 le théâtre de duels homériques entre Jean-Louis Bory et Georges Charensol, à propos notamment des films de la Nouvelle Vague. Pour préparer la première partie du film, j’ai passé plusieurs mois en immersion avec les pompiers de Paris. Où avez-vous trouvé les ressorts pour exprimer le martyre de votre corps ? Ils mènent une vie très structurante, solidaire, rythmée par le bruit obsédant des alertes, par les Marseillaise et le lever des couleurs.

Dans Sauver ou périr, il incarne un sapeur-pompier gravement brûlé qui doit réapprendre à vivre. La dernière modification de cette page a été faite le 16 juillet 2020 à 09:20. Il aime prendre tous les risques. ‎durée : 00:54:02 - Le Masque et la Plume - par : Jérôme Garcin - "Le Hussard sur le toit" de Jean Giono, "La nuit atlantique" d’Anne-Marie Garat, "L’espion inattendu" d’Ottavia Casagrande, "L’avenir des simples" de Jean Rouaud et "La sentence" de John Grisham. Je tiens à remercier le Méga CGR de La Rochelle et particulièrement Pamela Nicoli, pour l'organisation. Il s’avance avec grâce, promenant autour de lui son regard juvénile et rieur, le cheveu bien mis, le tee-shirt ras-du-cou impeccable, le jean repassé, et il tend une main souple, gracile, aimable, pour inviter, comme le faisaient autrefois les jeunes gens de bonne famille avec les vieilles dames, à s’asseoir sur une banquette du boutique-hôtel The Hoxton, à Paris. Vous avez été l’un des plus jeunes pensionnaires de la Comédie-Française, le plus jeune à avoir reçu le César du meilleur acteur… Le théâtre m’a appris le métier. Qui parle de la quête d’identité et du pouvoir de l’amour.

Dans "Sauver ou périr", Pierre Niney incarne un sapeur-pompier gravement brûlé qui doit réapprendre à vivre. Madame Figaro. Puis j’ai dû perdre le plus de poids possible pour la seconde partie du film… Un autre défi ! Cette devise, Pierre Niney l'a portée dans le film de Frédéric Tellier en incarnant un pompier brûlé au cours d'une intervention. J’avais la gorge serrée.