Je les visionne avec mon père. Jimdo. Durant quatre saisons, de 2009 à 2013, le. En septembre 2012, le syndicaliste Jean-Michel Lemétayer et Patrick Le Floch, économiste et directeur de Sciences Po Rennes, intègrent l'assemblée des deux hermines, groupe créé par le Stade rennais pour réfléchir à son évolution et son ancrage dans le territoire, et qui rassemble des personnalités « sincèrement attachées » au club[127]. Il est impliqué dans le réseau FARE[note 9], qui lutte contre les formes de discrimination et de racisme dans le football européen[28],[29]. Function: _error_handler, File: /home/ah0ejbmyowku/public_html/application/views/user/popup_harry_book.php En 1977-1978, alors qu'il est au plus mal économiquement[note 15], il n'attire qu'une moyenne de 2 681 spectateurs au stade, avec une pointe à 6 576 spectateurs pour un derby face à l'En Avant de Guingamp[cl 25]. Le public rennais est toutefois réputé comme fidèle[82],[86],[bk 20], ses résultats rythmant par ailleurs la vie locale[bk 21]. En 2015-2016, le nombre d'abonnements vendus repart à la hausse, avec 8 530 abonnés annoncés[75].

L'actrice mexicaine Salma Hayek, qui épouse François-Henri Pinault en 2009[118], déclare ensuite supporter le Stade rennais, et assiste à plusieurs reprises à des rencontres[119],[120],[121]. Inauguré en 1912 et qui devient, dès lors, le lieu de toutes les rencontres disputées à domicile par le Stade rennais. Suivant également les évolutions du football, il voit émerger la culture ultra, apparue à Rennes à la fin des années 1980, qui transforme la vie des associations de supporters, ainsi que les formes de soutien, avec ses animations, ses codes, et sa mentalité spécifique.

Le Stade rennais emprunte ce titre au Celtic FC, à l'issue d'un match de Ligue Europa joué à Glasgow, sa diffusion après chaque but écossais ayant plu aux supporters rennais[156],[157],[158]. Ce site a été conçu avec Jimdo. Line: 479 Lorsqu'elle se constitue, l'association ne compte que quinze membres, pour une centaine de sympathisants en tribune[15]. C'est ainsi le cas des Bretons installés dans l'agglomération parisienne. Il rentre au Stade rennais comme administrateur au milieu des années 1970[10], en devient sponsor principal au début des années 1990, puis propriétaire en 1998[116]. On appelle à la mi-temps le staff rennais », explique-t-il en 2012[bk 30]. Lors de la saison 2003-2004, le nombre des abonnés rennais est toutefois en diminution, se montant à 6 646 supporters, représentant une baisse de 14 % par rapport à la saison précédente, et 4 000 personnes de moins que deux ans auparavant[67]. Le principal antagonisme est toutefois celui qui oppose les supporters rennais à ceux du FC Nantes[bk 24],[94],[95],[96]. Le 28 mars 1920, alors que l'arbitrage de la rencontre entre les deux équipes suscite des protestations côté rennais, le public finit par envahir le terrain du stade de la route de Lorient, entraînant l'arrêt total du match[cl 4]. Alors que la rivalité avec les supporters lorientais reste modérée, voire inexistante[108], celle qui oppose les Rennais aux supporters du Stade brestois génère davantage de tensions. Unvez Kelt; Breizh Stourmer; Toulouse; 13 Stickers.

À l'origine, le Stade rennais refuse la création d'une nouvelle association de supporters, et le groupe doit débuter sous le parrainage des Socios, dont ils deviennent une section d'animation. En fonctionnement à partir de la fin des années 1950[note 24], ces usines comptent jusqu'à 14 000 ouvriers, souvent sortis de leur campagne pour venir travailler à Rennes, et pour qui le football fait office de sortie hebdomadaire le dimanche[bk 3],[bk 17]. À l'occasion de la victoire rennaise lors de la Coupe de France 1971, le chanteur Alain Barrière écrit une chanson qu'il nomme Allez Rennes, et qui fait référence au soutien de toute la Bretagne à l'égard du Stade rennais[139],[140],[note 21]. Il compte ainsi 7 500 abonnés en 1999-2000, 10 400 en 2000-2001 et plus de 10 500 en 2001-2002, ce qui est alors un record pour le club[19]. Laissant une place vacante en tribune Rennes, Breizh stourmer est remplacé à l'été 2008 par une nouvelle association de supporters, Unvez kelt[note 11]. Trente-huit ans plus tard, à la suite de la finale de la Coupe de France 2009 où il est joué en l'honneur d'un match qui oppose deux équipes bretonnes, le Stade rennais adopte le Bro gozh ma zadoù[154], chant de langue bretonne écrit en 1898 sur l'air de l'hymne gallois Hen Wlad fy Nhadau. Des supporters soutiennent et encouragent le Stade rennais football club. Function: _error_handler, File: /home/ah0ejbmyowku/public_html/application/views/page/index.php

Le réalisateur de cinéma Fred Cavayé déclare lui avoir « le Stade rennais dans la peau », étant originaire de la ville[145], alors que le dessinateur finistérien Malo Louarn affirme avoir « toujours supporté Rennes »[146]. Elle finit néanmoins par s'essouffler, et le groupe disparaît dans le courant de l'année 2014. Ceux-ci, de tous âges, revendiquent un état d'esprit très éloigné de la mentalité ultra, ce qui pose ponctuellement problème avec les groupes tentant de s'implanter à leurs côtés, face au Roazhon celtic kop[bk 10].

Le 15 octobre 1912, le match d'inauguration de l'enceinte, disputé face au même Racing Club de France, réunit toutefois 3 000 personnes autour du terrain[cl 3]. En janvier 2012, une version rock de la chanson est enregistrée par Jacky Sourget, ancien speaker du stade de la route de Lorient[151],[152]. Des incidents interviennent toutefois régulièrement, et jusqu'à une vingtaine de supporters ont été interdits de stade en même temps, avec des sanctions concernant principalement l'usage festif de fumigènes en tribune[bk 28]. Malgré tout, le stade de la route de Lorient connaît ponctuellement de belles ambiances lors de grands événements, comme le 29 septembre 2011 pour la réception de l'Atlético de Madrid en Ligue Europa[bk 12]. Ce chiffre décroît ensuite de façon régulière, avec trois baisses consécutives entre 2008 et 2010. C'est le cas d'Éric Besnard, natif de Janzé, qui se définit comme un « vrai supporter de Rennes »[129], ainsi que du journaliste Victor Robert, originaire de Dinan, qui est « génétiquement fan du Stade rennais »[130], et de Philippe Gildas qui « assistait à tous les matchs » lorsqu'il était étudiant à Rennes, et continue ensuite à suivre les résultats du club[131]. Dans le même temps, d'autres supporters rennais s'associent pour contribuer à la survie financière et sportive du club.