L’avance des marcheurs est moins nette à Castres-Mazamet.
a ensuite légèrement baissé, passant de 18 % en 2007 à 16 % en 2012. plus marquée pour les personnes sans diplôme (– 15 points par rapport à 2012) et les La sortante socialiste parvient finalement à combler son retard de 11 points du premier tour pour l’emporter confortablement au second. La droite réussit malgré tout à conserver un siège en faisant basculer le secteur de Falaise-Lisieux grâce au maire de Livarot-Pays-d'Auge, Sébastien Leclerc. Le Havre-Nord, également sans candidat marcheur, porte au second tour les deux candidats « modérés », Antoine Siffert du PRG et Agnès Firmin-Le Bodo soutenue par le premier ministre, député sortant du secteur, qui est largement élue.
Cette tendance est particulièrement visible dans le secteur du sud qui place largement en tête du premier tour l'ancien député LR, Mansour Kamardine, qui obtient un score équivalent à celui qu'il avait obtenu en 2012. Les élections législatives françaises de 2017 se tiennent les 11 et 18 juin 2017 [1].Les résultats sont présentés par département ou collectivité et pour chaque circonscription.
le faire.
On note également la réélection de Bernard Brochand, qui après 16 ans de mandat, devient le doyen de l’Assemblée nationale. Pour prendre la succession de Marion Maréchal-Le Pen à Sorgues-Carpentras, Brune Poirson, militante marcheuse franco-américaine, arrive en tête juste devant l'ancien suppléant de la sortante, Hervé de Lépinau. Champ : inscrits et résidant en France métropolitaine.
connaît une popularité assez importante, l'Eure-et-Loir choisit plutôt de faire à nouveau confiance à la droite. L’ancien ministre et candidat à la présidentielle d’avril, Benoît Hamon, perd son siège de peu dès le premier tour face à Nadia Hai, la candidate marcheuse qui l’emportera face à son prédécesseur, Jean-Michel Fourgous. Il retrouve son niveau de 2002. Emmanuel Macron n’aura finalement aucun soutien dans la délégation parlementaire terrifortaine. depuis 2002 ; l’écart entre les cadres, d’une part, et les personnes exerçant une
Les deux sièges de Poitiers donnent plus de 40 % de leurs voix aux marcheurs dès le premier tour. Les marcheurs sont largement en tête au premier tour partout. Cette avance ne suffit cependant pas au partisan d'Emmanuel Macron, et Julien Aubert l'emporte, comme en 2012, sur le fil.
L’avance du premier tour de Carole Normani, militante marcheuse issue de la société civile, n’aura pas suffi.
Enfin, deux candidats se qualifient en profitant notamment des divisions à gauche pour la succession de députés de gauche élus en 2012 et non candidats. Dans le département du Nord, vingt-et-un députés sont à élire dans le cadre de vingt-et-une circonscriptions. La droite sauve sinon les meubles en conservant la majorité des sièges même si deux sièges n'avaient pas de candidat marcheur pour s'opposer aux candidates LR mais plutôt des candidats se présentant avec l'étiquette de la majorité présidentielle. Note : les inscrits sont répartis entre ceux qui votent à tous les tours, à la fois
Les différences de participation se sont aussi accentuées en 2017 par catégorie sociale,
Ces
Au second tour, Christian Franqueville se retrouve opposé, comme en 2002, en 2007 et en 2012, au maire LR de Vittel Jean-Jacques Gaultier. Un renouvellement politique s'impose au cours de ces élections législatives dans l'Yonne, à la lumière des résultats de la présidentielle et des marcheurs à ces législatives dans tout le pays. Symbole de cette large victoire, l’adjoint au maire ex-UDI du 9ème arrondissement, Sylvain Maillard qui l’emporte dès le premier tour dans la 1re circonscription, notamment face au maire LR du 1er arrondissement, Jean-François Legaret.
Sont qualifiés avec 12 voix de différence, la candidate PS, Ramlati Ali, ancienne maire de Pamandzi, et le candidat LR, l'avocat Elad Chakrina.
fortement mobilisés au second tour qui opposait Jacques Chirac et Jean-Marie Le Pen. Cependant, l'ancienne ministre de Jacques Chirac est défaite par une candidate marcheuse, dans le secteur de Reims-ouest qui avait déjà le plus voté, au niveau départemental, pour Emmanuel Macron au cours de la présidentielle. En revanche, le siège de Saint-Dizier confirme son fort ancrage à droite en ne qualifiant même pas le candidat marcheur pour le second tour, facilitant l'obtention d'un sixième mandat face au FN, sans réserve de voix, pour le maire de Saint-Dizier, François Cornut-Gentille.