Le chef de file de la droite traditionnelle François Baroin - qui réussit à se stabiliser autour de 21% comme à la présidentielle - a lui appelé à la mobilisation pour éviter que les pouvoirs soient « concentrés » dans « un seul et même parti ». © 2020 Copyright RFI - Tous droits réservés. "Le vote blanc est revendiqué comme de l'abstention civique, cela manifeste un attachement à l'exercice du droit de vote tout en renvoyant dos à dos les candidats", commente Anne Jadot. ", 36,12% souhaitaient voter blanc ou nul, 34,83% pour Emmanuel Macron et 29,05% se disaient favorables à une abstention, Roland-Garros: en plein blues, Monfils ne répond plus, Eric Dupond-Moretti en vidéo sur Facebook : ce rendez-vous sera « un lien sans filtre » avec les Français, En Lituanie, Macron s'implique dans la crise au Bélarus, L2J Associés est une société née de l'association de …, Classée 3e meilleure pizzeria d’Île-de-France, cette …, WEELODGE c'est une autre façon de travailler, de …, Francis Sak et Thomas Delmas, associés-fondateurs, …, AMPLICOMMS Casque TV avec collier magnétique 2510 NL Amplicomms -, Olympique Lyonnais Casque Audio Bluetooth OL - Foot Lyon -, BFT KIT ECOSOL Ensemble complet pour motorisation solaire BFT - BFT -, L'Obs - Les marques ou contenus du site nouvelobs.com sont soumis à la protection de la propriété intellectuelle, un taux d'abstention particulièrement élevé. Mais les intentions de participation ont beaucoup grimpé dans la dernière ligne droite. Au second tour de l'élection présidentielle, ce dimanche, le taux d'abstention a augmenté par rapport au premier tour, atteignant 25,38%, plus de 12 millions de personnes, selon des résultats définitifs publiés vers 2 heures du matin. Elle a perdu sa suprématie dans l’électorat le plus jeune, au profit de Jean-Luc Mélenchon chez les 18-24 ans (21% contre 30% pour Jean-Luc Mélenchon), au profit d’Emmanuel Macron chez les 25-34 ans (24% contre 28%). Non seulement celles-ci ont accentué la défiance des électeurs envers leur personnel politique, mais en plus, elles ont éclipsé les débat de fond. Au second tour de l'élection présidentielle, le taux d'abstention est monté à plus de 25% des inscrits, en hausse par rapport au premier tour. « Malgré l'abstention, le message des Français est sans ambiguïté », a estimé le Premier ministre Edouard Philippe au Havre. "Il y a le peuple et les autres", constate-t-il, évoquant les affaires. Ce qui est rarissime dans l'histoire. Emmanuel Macron a séduit la France « optimiste », qui vit plutôt bien et qui pense que la jeune génération vivra mieux qu’elle (35%).Politiquement, près de la moitié des électeurs de François Hollande au premier tour de la Présidentielle 2012 (47%) et 17% des électeurs de Nicolas Sarkozy ont choisi cette fois Emmanuel Macron, qui s’est avéré aussi le candidat préféré des sympathisants PS (42%), Modem (46%), tout en obtenant 36% des suffrages des proches de l’UDI. Mais pourquoi cette petite enclave est-elle si convoitée? « L'immensité de l'abstention montre qu'il n'y a pas de majorité pour détruire le Code du travail », a jugé de son côté Jean-Luc Mélenchon qui, contrairement à la présidentielle, a immédiatement appelé ses électeurs à « ne jamais permettre l'élection d'un candidat Front national ».

Environ un Français sur deux a boudé les urnes ce dimanche 11 juin. Un électeur français sur deux a boudé les urnes ce dimanche 11 juin.

Législatives : le Parti socialiste est-il condamné à mourir ? Il a ainsi recueilli plus de 20% des suffrages dans toutes les tranches d’âge à partir de 25 ans, a convaincu un cadre sur trois, le quart des « professions intermédiaires » et des retraités, un salarié sur quatre, du public comme du privé, le quart encore des électeurs « à leur compte ».Par rapport au niveau de diplôme, il a été le plus souvent choisi par ceux qui ont arrêté leurs études au baccalauréat (24%), par les diplômés du 1er cycle (26%), comme par ceux du deuxième et troisième cycles (30%). Fort de 44% des suffrages, il s’est révélé être le candidat préféré des électeurs se positionnant « à gauche ». Le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, dont le parti s'est effondré dimanche à environ 10%, a vu pour sa part dans cette abstention « le signe d'une immense fatigue démocratique ». Ipsos lance "En direct d'Ipsos", un programme spécial de webinars sur les questions qui mobilisent l'opinion et le monde l'entreprise pour vous donner les clefs pour prendre les bonnes décisions durant cette période exceptionnelle. Dans toutes ces catégories il a été devancé de plusieurs points par Emmanuel Macron.Politiquement, François Fillon n’a su séduire que 59% de l’électorat de Nicolas Sarkozy au 1er tour de 2012.

Le premier tour de l’élection du président de la République s’est tenu le 23 avril 2017 avec plus de 47 millions d’électeurs appelés aux urnes.